1. Ma 1ère sodomie avec mon amant


    Datte: 29/09/2020, Catégories: Anal Gay Première fois

    ... sur mon anus auquel je faisais des mouvements d’ouverture-fermeture sans volonté car ça me démangeait. Ali poussa un doigt et il réussit, avec mon aide, à traverser l’anus. Puis, il continua à me frotter à l’intérieur. J’avais cessé de lui sucer la bite car j’étais entièrement occupé par ces nouvelles sensations de mon cul.Ali m’a chuchoté « ô fiston, fiston, mon zob devient fou de ton cul ! Laisse- moi te niquer ! Vite ! vite ! Je ne peux plus attendre ! ».Il me demanda de me coucher sur le ventre et de soulever le derrière. Je savais ce qu’il voulait faire mais je n’avais pas la force psychique de refuser. Je me suis couché et j’ai soulevé les fesses et Ali m’a totalement enlevé mon pantalon.Puis, il m’a léché les fesses et l’anus et a introduit encore son doigt dans mon cul. « Ton cul est doux, rouge comme la chatte de ma pute ! Oh mon zob, il est à toi ce cul ! ».Malgré mon affolement, j’ai réussi à lui avouer doucement que j’étais vierge et que j’avais peur. « Ton cul t vierge ? N’aies pas peur ! Mon zob te l’ouvrira avec facilité ! ».Il m’a dit de rester ainsi un moment, puis il s’est levé, a couru vers le coin cuisine pour apporter un peu de beurre, je l’ai su plus tard. Quand il revenait vers moi, j’ai vu son zob gonflé, droit et qui, dans sa course, se balançait dans un mouvement affolant. C’était une image plus érotique que j’avais vu dans les vidéos et qui a amplifié les frissons de mon corps. J’avais peur mais j’étais impatient de gouter ce gros zob. Ensuite, ...
    ... j’ai senti le beurre qui me lubrifiait l’anus et l’intérieur du cul.Puis, Ali plaça sa bite sur mon anus et doucement, après plusieurs essais d’entrée-sortie, son gland pénétra mon cul. Bien sûr, j’ai eu mal et plusieurs fois, j’ai essayé de me libérer mais Ali était plus fort et déterminé. Il m’a même donné des claques sur les fesses et m’a engueulé. Je lui ai dit : « Doucement oncle Ali ! Mon anus est serré ! Tu m’as fait mal ! ».Il m’a appelé salope et pute qui aguiche les hommes et qu’il allait me niquer coute que coute, et qu’après, c’est moi qui en redemanderais.« Putain, restes tranquille ! Je te niquerai ! Ta terma (ton cul) est pour mon zob cette nuit ! Je te la défoncerai et te rassasierai avec mon zob ! Je t’arroserai avec mes couilles ! ».Enfin, sa bite glissa dans mon cul jusqu’aux couilles. J’ai senti leur claquement sur mes fesses. D’un air triomphal, il me dit : « ça y est, mon zob a pénétré ta terma ! Fiston, maintenant on va la frotter pour la lisser à mon zob !».Il continua encore quelques essais pour m’élargir l’anus et faciliter les glissements de sa queue. Quand ce mouvement devint facile et même sans douleur pour moi, il accéléra : « Alors fiston, la baise commence à te plaire dans ta terma ? ».Comme je ne répondais pas car j’étais totalement sous le charme de mes nouvelles sensations agréables, il me claqua les fesses :« Dis-moi, tu sens mon zob ? ».Et moi, dans un souffle rauque, affolé : « oui, je le sens ! Je le sens ! ».« Qu’est-ce que tu sens ? Dis ! ...