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Jours de grève (4)
Datte: 30/09/2020, Catégories: Gay
... du coup le jet devient plus fin et plus énergique. Une fois soulagé, il garde sa bite en main et commence lui aussi à se branler. La situation m’excite encore plus tant ça devient risqué. N’importe qui pourrait arriver et capter son geste provoquant. N’importe qui pourrait arriver et me deviner debout sur un siège dans un bus le pantalon baissé. Ça l’excite aussi énormément visiblement. On accélère le rythme conscients du danger, il jette des regards à droite et à gauche, puis il me regarde dans les yeux et tous les deux on se met à jouir en même temps. Mon sperme s’écrase sur la vitre. Le sien atterrit par terre. Il tire sa langue comme s’il léchait la vitre. J’éclate de rire, et lui aussi. Il me rejoint vite dans le bus après son affaire en disant : — t’es fou mon ptit gars mais tu m’as terriblement excité — c’est toi qui t’exhibe, je pouvais plus me retenir Je regarde mon oeuvre spermique sur la vitre et je dis : — tu aurais un chiffon pour essuyer ? — oui tiens Il sort un mouchoir en tissu de la poche de son pantalon et me le tend. — je le garderai, comme ça je pourrai sentir l’odeur de ton sperme ce soir J’ai une grimace de dégoût. — c’est un peu dégueux quand même Il s’avance et me prend par la taille en m’embrassant dans le cou. — tout ce qui vient de toi est divin mon amour J’éclate de rire. Il me ramène à la réalité. — bon je vais devoir y aller bébé... quand est-ce qu’on se revoit ? — demain je commence à 9 heures mais mes parents m’amènent le samedi car ils vont ...
... au supermarché après, et je finis à midi — bon donc je te vois pas demain matin et moi l’après-midi j’entraîne les petits au rugby, ça veut dire qu’on se reverra que lundi ? Je réalise qu’on va être séparé 2 jours après tout ce qui s’est passé en à peine 24 heures. Je suis triste et mon visage se ferme. Il dit : — bébé fais pas cette tête, on se voit lundi, c’est bien aussi de laisser remonter le désir. Lui arrive à sourire et à voir le côté positif. Il me prend dans ses bras et m’embrasse langoureusement pendant une longue minute. On arrive quand même à se séparer et je prends mes affaires. Je l’embrasse une dernière fois furtivement avant de descendre du bus. Comme hier je le regarde démarrer et s’éloigner. On se salue. Ça va être dur jusqu’à lundi... Le samedi matin, j’ai deux heures de sport, c’est athlé, je vais donc me rendre au stade où nous avons baisé hier avec mon Jeff. Je me sens un peu comme un criminel qui revient sur les lieux du crime. Ça m’excite en même temps. Mais le lieu est different avec le chahut que mes camarades font. Il y a pas mal de rugbymen dans ma classe, du coup il y a des habitudes de chambrage entre mecs balaises. D’habitude je me délecte des corps virils de certains camarades, notamment Damien qui est un gaillard d’1m90, 105 kg, talonneur de son état, du poil en veux-tu-en-voilà et surtout une grosse bite qu’il ne dissimule pas vraiment. Mais là mes pensées restent sur mon petit entraîneur de rugby.Damien me sort de mes rêveries : — oh Lio ...