Samantha
Datte: 02/10/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
telnet,
amour,
volupté,
Oral
préservati,
pénétratio,
... fichent dans la chatte ruisselante. Elle a appuyé ma tête de toutes ses forces sur sa chatte, avant d’être terrassée par un violent orgasme. J’ai senti son corps se relâcher complètement après avoir été tétanisé par la jouissance. J’ai sorti mes doigts, les ai léchés, puis je me suis allongé de nouveau à ses côtés. Elle était en sueur avec les yeux hagards. J’ai caressé son corps de rêve de longues minutes, le temps qu’elle se remette de ses émotions. Nous avons échangé encore un long baiser, moins fougueux mais plus passionné, plus tendre aussi ! Mon excitation était à son comble et je ne rêvais que de pénétrer l’antre de cette déesse ! Elle a dû lire dans mes pensées, car elle s’est relevée, a pris une capote, m’en a habillé et s’est placée à califourchon sur moi. D’une main, elle a saisi ma bite, et l’a dirigée vers sa grotte. Elle est descendue avec une infinie lenteur et je sentais chaque millimètre carré de sa paroi intime fusionner avec mon sexe, jusqu’à ce qu’elle m’ait totalement englouti ! Elle est restée plusieurs minutes ainsi, sans bouger, juste empalée sur mon pieu d’amour. Je ne sentais que ses contractions internes masser ma bite. Enfin, elle a commencé ses va-et-vient, toujours aussi lentement : la tête renversée en arrière, les yeux dans le vague, elle éprouvait manifestement beaucoup de plaisir ! Tout comme moi ! Jamais je n’avais ressenti un tel bonheur : cette pénétration au ralenti était une vraie merveille ! Soudain, elle s’est métamorphosée ! D’amante ...
... douce et câline, elle s’est transformée en furie ! Les va-et-vient ont pris un rythme fou et ses soupirs lascifs se sont mués en cris rauques. Elle sortait presque entièrement ma bite de son fourreau pour s’empaler de nouveau au plus profond d’elle-même ! Au comble de l’excitation, je l’ai fait pivoter sur le dos et, en lui relevant très haut les jambes, je l’ai pilonnée sans relâche, jusqu’à ce que nous hurlions presque simultanément notre jouissance. Après cette débauche sexuelle, je me suis affalée auprès d’elle. Nous étions tous les deux ruisselants de sueur, cherchant notre souffle, incapables de nous lever, tant le plaisir nous avait foudroyés ! Tout en lui caressant les cheveux, je lui ai murmuré : — Je t’aime ! Elle n’a pas répondu, mais les larmes qui ont roulé sur ses joues étaient bien plus éloquentes que n’importe quelle réponse. Je l’ai enlacée. Elle se blottissait dans mes bras, cherchant le maximum de contact entre nos deux peaux. Après la fougue de nos ébats, cet instant semblait irréel de calme, de volupté et de tendresse. Nous étions tellement bien ainsi que nous nous sommes endormis. Il était presque 22 heures quand nous nous sommes réveillés, presque surpris de nous voir ensemble. On dit que la faim fait sortir le loup du bois, mais elle fait aussi sortir les amants du lit ! Nous avons commandé nos pizzas puis avons pris une bonne douche, ensemble. Encore un instant de tendresse comme il y en a peu : nous nous massions plus que nous nous lavions, mais ne ...