1. Pissotières de province (1)


    Datte: 02/10/2020, Catégories: Gay

    Premier article, anciens souvenirs… Je suis brun, 1,72 m pour 62 kg, très athlétique, avec un fessier, paraît-il très sexy… Je me présenterai physiquement un peu mieux une prochaine fois. Ce soir, je vous raconte juste un de mes meilleurs souvenirs. Il y a quelque temps, je vivais dans une petite ville de province, au centre de la France. Il y avait là un lac artificiel, avec des toilettes publiques et un petit bois à côté. Ce lieu était et reste un endroit de fornication homo, et bisex, même si depuis, les toilettes ont été détruites. Je m’y rendais souvent après la débauche pour tailler deux, trois pipes, et me faire ramoner. J’adorais le plaisir de la baise rapide, l’idée de vider les couilles de ces mecs qui sortaient du boulot et venaient se défouler sexuellement dans ce lieu. J’y ai pris des kilomètres de sexe, et des litres de foutre. Il m’arrivait même de m’y travestir, une perruque, des bas, une guêpière, des faux seins (mais chut, ceci fait partie des choses que j’aurai à vous conter). J’y ai aussi rencontré des couples… Ce soir-là, un soir d’hiver relativement froid, je m’y arrêtais, et filais direct aux pissotières. (Passage au présent volontaire, cela facilite l’écriture) Je m’installe devant une pissotière, baisse mon jogging, et attends. Deux, trois mecs m’ayant repéré, me suivent. C’est la routine, peu de temps d’observation, ici on sait pourquoi on se promène à une heure du matin. Je patiente tout juste une petite minute, que l’un d’eux se place derrière ...
    ... moi, enfile une capote, et commence à appuyer sur ma rondelle. Petit calibre, il me pénètre sans problème, et commence à me limer. Je pose les mains sur la faïence, resserre mes jambes, histoire de mieux le sentir me limer. Il palpe mes seins, s’accroche à mon cul. Il accélère, je sens la capote craquer, je lui dis, mais il continue et se répand en grognant dans ma chatte…. Il part… me laissant dégoulinant de foutre. Je me retourne, pensant partir aussi, et me retrouve face à trois bites bien droites. Je me penche et attrape la plus proche, épaisse, courte et bien dure. Il bouge dans ma bouche, sans violence, mais sûrement. Je palpe ses couilles, et caresse ses fesses, appuyant dessus pour l’encourager. Un des deux autres passe derrière moi et me lèche la raie. Puis, il m’enfile, me lime sans ménagement, il ne peine pas, tellement je suis déjà humide de mon premier amant. Il ressort et vient éjaculer dans ma bouche. J’avale, en crache une partie sur le sol. Celui que je suçais prend sa place dans mon cul, me lime aussi très fort et éjacule dans mon fondement. Il ressort et vient me présenter sa bite flasque dans la bouche. Le troisième que je suçais laisse la place et file m’enculer. Pendant que je nettoie la seconde bite, il me ramone et me traite de pute, de salope, de garage à bites… Il commente mon cul, disant qu’il est bien petit, comme celui de sa femme, mais bien plus ouvert… J’éjacule sans me toucher… Mon sperme coule en partie sur mes jambes. Je suis en sueur, mon cul ...
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