Année de terminale (11)
Datte: 03/10/2020,
Catégories:
Lesbienne
... relation lesbienne m’a mise dans tous mes états. Je me suis masturbée comme une folle. J’ai ensuite pris une douche, me suis rasée le minou au mieux pour enfiler ce maillot de bain le lendemain. Je n’ai plus peur de me montrer ainsi devant le reste de la classe. Ils m’ont déjà vue nue de toute façon, ça ne les choquera pas. Ca permettra d’alimenter les ragots sur PLPP. Et je me suis à nouveau masturbée. Je suis sortie de la salle de bain toute nue, fière de mon corps. Plutôt que d’aller directement enfiler quelque chose dans ma chambre, je suis partie chercher un verre d’eau dans la cuisine. Passant dans le salon, je suis tombée sur mon père qui était rentré sans que je l’entende. Il regardait mon sac de courses, détaillant le string ouvert avec un air circonspect. Je lui dis aussitôt • Hey, c’est privé ça. • Oui, je vois. J’aimerai une explication... Et pour ça aussi ! Il pointe alors mon pubis nu. Je ne dis rien, je me sens tellement humiliée face à lui, à ce qu’il ait entrain de découvrir de sa fille. Je cours récupérer le sac et je vais m’enfermer dans ma chambre. Il me suit et frappe à la porte • Pauline, j’aimerai qu’on parle. • Je n’ai rien à dire. • Je sais que le départ de ta mère n’est pas facile à gérer... Je ne voudrai pas que tu fasses de bêtise. • Je sais ce que je fais. • Je veux juste te dire que je suis là... Si t’as quoi que se soit, si tu veux me parler de quelque ...
... chose... Bon... Tu as une envie particulière pour manger ce soir ? • Non, je n’ai pas faim... Des macaronis ? • Je te prépare ça. Je t’appelle lorsque c’est prêt ? • D’accord. Nous avons mangé en tête à tête. Nous n’avons pas parlé. Il devait attendre que je fasse le premier pas, mais je ne pouvais rien lui dire. J’adore mon père. J’ai l’impression qu’il me comprend même sans qu’on n’échange le moindre mot. Cependant, je n’ai pas le courage de lui dire ce qu’il m’arrive, et lui avouer que, pour le moment, ça m’excite comme pas possible. Nous finissions de manger, et il finit par ouvrir la bouche. • Au début, avec ta mère, c’était particulier... Elle s’habillait sexy pour moi... Autant, je ne me souviens pas vraiment ce qu’elle portait, autant il y a quelque chose que j’adorais chez elle. mcrmiigz • C’est quoi ? • Elle portait des chaussures à talons aiguilles. Ca lui donnait une élégance, une démarche incroyable. • … Pourquoi me dis tu ça ? • Je ne sais pas qui est ton copain, mais peut-être que... Laisse tomber... Je dis n’importe quoi. Il se trompe, je n’ai pas de petit copain... S’il savait. J’ai de la peine pour lui. Je me lève et m’assoit sur ses genoux pour lui faire un câlin. C’est si agréable, si doux, si innocent. Je regrette de ne pas lui en avoir fait plus souvent, de ne pas lui en avoir fait depuis des années. Et comme un secret, il me chuchote à l’oreille "Je t’aime ma princesse".