1. Apprentissage sulfureux (Chap 3 et 4)


    Datte: 03/10/2020, Catégories: fh, couleurs, Collègues / Travail médical, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, pénétratio, init,

    ... je à son amie ?— Non fit Emma, elle est coréenne. Ses parents vivent à Zurich depuis vingt ans. Elle est belle, n’est-ce pas ?— Oui, elle est canon, ne puis je que dire.— Et moi, fit elle, tu me trouves à ton goût ?— Arrête de m’embêter, tu sais très bien que tu es jolie. Après 30 minutes d’un profond silence, la porte s’ouvrit. Naomi en ressortit les bras chargés de vêtements. — À toi Emma, dépêche-toi. Naomi, commença à se rhabiller. — Alors fis je, inquiet.— Bon pour le service, à plus Polo, faut que j’appelle mes parents. Je me retrouvai seul dans l’anti-chambre, à attendre mon tour. Tout était réglé, montre en main, trente minutes… Emma sortit aussi, les mains pleines. — À toi, Paul, fit la gouvernante J’entrai dans le salon. Une autre femme, blonde, était installée derrière un bureau, des lunettes sur le nez, la bonne trentaine. — Tiens, voilà le seul mâle, fit la femme, enlève ton slip et monte sur la table d’examen. Devant mon hésitation, elle insista. — Dépêche toi, petit mâle, d’autres patients m’attendent ailleurs. A regrets, je me séparais de mon seul vêtement, mettant mes mains devant mon sexe, je montais sur la table. La doctoresse s’approcha, me fit ouvrir la bouche, me prit la tension. Sophie la gouvernante se tenait à cinquante centimètres de moi. — Il a l’air en pleine forme, ce petit mâle. Voyons la suite. Enlève tes mains Ce que je fis, déconfis, jamais une femme , n’avait vu mon sexe, deux encore moins. — Bel instrument, fit la toubib. Vérifions l’état ...
    ... de marche de l’engin. Approche Sophie, il faut que tu vois cela. La dame posa sa main sur moi, attrapa mes bourses, elle les fit rouler dans sa main. — C’est gorgé de jus, tout cela, commenta-t-elle. Sans que j’y puisse rien, je commençais à bander — Et l’instrument semble réceptif ! Elle continua son manège une petite minute, le temps que mon Popol à moi, pointe vers le plafond. — Agréable à regarder, fit la toubib. Sophie aide moi, j’ai besoin de voir le gland. La gouvernante s’approcha les yeux brillants, prit ma tige, et me décalotta complètement. — Bravo Sophie, je vois que tu n’as pas perdu la main.— Avec de si belles carottes, l’automatisme revient facilement.— Touche lui les burnes, fit la femme à lunettes. Moi je m’occupe de son gros tuyau. La doctoresse, s’appliqua à me masturber, avec un savoir-faire digne des plus grandes séductrices. Serrant les dents, je voulu me contenir. Elles étaient trop fortes pour moi. D’une ultime caresse, elles eurent raison de moi. Je me vidais à jets drus, dans les mains des deux perverses. Après s’être essuyée, la gouvernante, me tendit un carton de linge — Remets ton slip, Paul, demain tu mets la tenue sombre. On toqua à ma porte, j’entendis le voix d’Emma — Polo, lève-toi, il est déjà 6h00, faut pas être en retard le premier jour. Purée, j’avais loupé le réveil. Je sautai du lit en slip, la tête dans le gaz, attrapai ma trousse de toilette, et filai vers la douche. Naomi et Emma étaient déjà dans le couloir, en tenue de combat. En me ...