Les aventures d'un libertin: une nympho hors normes.
Datte: 03/10/2020,
Catégories:
fhh,
fhhh,
extracon,
cocus,
nympho,
fépilée,
BDSM / Fétichisme
facial,
Oral
69,
fgode,
fist,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
hgode,
totalsexe,
... travers la fine paroi séparant les deux conduits), elle ne tarda pas à jouir à son tour. Elle m’avoua que j’étais le troisième à parvenir à la fister (ah, zut, jalousie : je n’étais pas le premier ! Mais bon, dans les deux prédécesseurs, il y avait une femme). Bien qu’elle adorât être remplie, voire dilatée, peu de mecs savent comment placer les doigts, et surtout savent le faire avec patience. Durant le reste de la soirée, nous fîmes plus l’amour que nous baisâmes, bien que la sodomie, les éjacs faciales ou buccales étaient toujours au rendez-vous. Les pénétrations étaient toujours protégées ; si elle avait confiance en moi, moi je ne tenais vraiment pas à prendre de risque, vu le nombre de kilomètres de bites qu’elle s’était déjà enfilés et la quantité de foutre qu’elle avait déjà avalé… Ni l’un ni l’autre ne pouvions nous permettre de rester la nuit ; nous dûmes donc nous résigner à reprendre la route. Je pris une douche ; Sylvie refusa, désirant montrer à son jules les traces de sperme sur son visage. D’ailleurs, le concierge faillit avoir une crise cardiaque lorsqu’elle s’approcha pour déposer la clé sur le comptoir. Elle se regarda dans un miroir et, avisant une goutte de sperme dans ses cheveux, elle la prit au bout d’un doigt. Tout en regardant le concierge droit dans les yeux, elle dit : — Oh, il en restait ! Ce serait dommage de gâcher ça ! Nous riions encore lorsque j’arrêtai la voiture devant chez elle. Là, une certaine gêne s’installa. Nous avions tous les deux ...
... envie de dire quelque chose, mais nous savions aussi que nous n’en n’avions pas le droit. Je lui dis : — Écoute, il y a des mots qui doivent mûrir encore avant de pouvoir être prononcés. Alors, ne disons rien. Mais je crois que nous avons tous les deux compris les sentiments de l’autre. Elle acquiesça ; nous nous fîmes un bisou avec ce sourire qui signifie « je regrette de ne pas pouvoir parler ». Elle sortit de la voiture et s’engouffra dans la porte d’entrée de sa maison. Ce fut la dernière fois que je la vis. En rentrant chez moi, après trois-quarts d’heure de route, j’allumai mon ordinateur pour lui laisser un petit mot. Tiens… je ne parvenais pas à me connecter au groupe. J’essayai avec un autre compte. Là, je pus entrer, et je vis avec effroi que la page de garde du groupe avait été modifiée : son homme parlait de moi en me nommant « le requin » ; il disait que j’avais tenté de lui voler sa femme. Il m’avait banni du groupe et il invitait tous les membres à me fuir comme la peste, prétextant que je comptais les faire chanter. Les messages d’insultes commencèrent à pleuvoir, tant sur le groupe que sur mon mail. Mais ce qui me fit le plus mal, c’est un message de Sylvie, qui se moquait de moi. Je soupçonnai son mec de l’avoir écrit lui-même ; alors j’essayai de lui téléphoner quelques jours plus tard ; elle me répondit sèchement, et ricana encore. Comme elle avait mon numéro privé et en savait énormément sur moi, tant au niveau privé que professionnel, j’ai préféré ne pas ...