Pour Anna (2)
Datte: 14/10/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... parler comme ça ? Tu te prends pour qui ? — Pardonnez-le, Madame, mais il est franchement rustre. — Ce n’est pas une raison ! » Mais cette altercation n’entama pas l’envie d’Anna. Lorella s’en rendit vite compte lorsqu’elle s’approcha d’elle. Elle se laissa faire alors que sa servante la débarrassait de ses atours. D’abord son haut et son soutien-gorge puis ses chaussures, son pantalon et sa culotte lui furent enlevés et Anna, se révéla entièrement nu au regard pervers de Gianni qui salivait déjà. Il s’approcha d’Anna et lui soupesa la poitrine. « Vous avez de beaux nichons, dit-il avant d’en gober les tétons. » Anna regardait Lorella qui fixait la scène avec un petit sourire de satisfaction. Malgré le manque de douceur de son partenaire, Anna sentait ses tétons durcir et son sexe s’humidifier. « Elle suce ? Demanda Gianni à Lorella. — Oui. Et elle sembla le faire très bien. » Gianni lâcha alors les seins d’Anna et dégrafa son pantalon. Il poussa sur les épaules de sa patronne qui se mit à genoux. Une sexe peu épais, court et très odorant apparut devant elle. Il attrapa sa nuque et guida le visage d’Anna vers son sexe à demi bandé. Anna, bien que peu ragoûtée par cette verge, se résolut à ouvrir les lèvres pour le laisser entrer dans sa bouche. Elle entama alors une fellation appliquée faisant jouer ses lèvres sur la hampe durcie, sa langue autour du gland noueux et ses mains sur les boules velues. « On m’avait dit que les bourgeoises étaient des bonnes suceuses mais, toi, ...
... tu bas tous les records, se permit Gianni. Tu es meilleure que les pros. » Agacée par ses réflexions, Anna lâcha le sexe de Gianni et se releva. Mais il en aurait fallu bien plus pour décourager le rustre et pour calmer les envies d’Anna. Il la retourna et la pencha en avant pour qu’elle prenne appui sur le dos du canapé devant elle. Il passa sa main le long du sexe coulant d’Anna. En remarquant l’humidité, Gianni marqua sa satisfaction d’un rire narquois. Puis il planta son sexe rugueux dans la grotte d’Anna qui poussa un cri de surprise terminé par un gémissement d’aise. Agrippant fermement sa patronne par les hanches, Gianni se mit à la besogner avec vigueur. Son ventre mou tapait contre les fesses d’Anna dans un bruit des plus salace. La grosse poitrine d’Anna ballottait en rythme, ce qui sembla amuser Gianni. Anna sentait le plaisir monter en elle. Cet homme grossier et sans une once de douceur savait réellement y faire et la belle Anna ne pourrait pas résister longtemps. Semblant le sentir, Gianni arrêta et se retira. Il se tourna de nouveau vers Lorella. « Et son cul ? Je peux me le faire son cul ? — Oui, je pense, répondit Lorella. — NON ! Hurla Anna. Pas par là, ce n’est pas propre et pas normal. — Voyons, Madame, pleins le font. C’est que ce doit être bien. Laissez-vous aller. — Ouais, laisse-toi faire… Gianni va t’enculer en douceur, ajouta le jardinier. — Je suis là, Madame. Si ça ne se passe pas bien, je l’arrête, c’est promis, rassura Lorella. » Plus vaincue que ...