1. A mon tour


    Datte: 14/10/2017, Catégories: fh, couple, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, fgode, pénétratio, fsodo, jeu,

    ... col, avant d’attaquer la montée, le temps d’une pause, elle me demande si j’ai emporté mon téléphone, au cas où… — Ne t’inquiète pas, je l’ai pris, mais j’espère bien ne pas avoir à m’en servir.— C’est seulement en cas de problème, et je ne sais pas ce que j’ai fait du mien…— Déjà perdu ? Il a dû rester sur ton bureau…— Ça m’ennuie, j’aurais voulu appeler les enfants, et le numéro est dans mon répertoire.— Les enfants n’ont pas besoin de nous en ce moment, ils sont à la plage et ne pensent qu’à jouer. Tu les appelleras ce soir. Nous reprenons notre montée, en plein soleil, sur un chemin plus escarpé et toujours désert, et la fatigue se fait sentir. Mais est-ce bien la fatigue ? Tout en augmentant l’amplitude de ses pas, mon épouse recommence à se dandiner, agitant de droite et de gauche son charmant postérieur. Cela m’encourage à multiplier mes caresses et à préciser de quelques doigts mes intentions. Au bout d’un moment elle s’arrête de marcher et se cambre vers l’arrière avec quelques mouvements du bas-ventre bien identifiables. Elle ne dit rien et j’en profite pour me coller contre son dos, une main fouillant entre ses fesses, l’autre palpant sa poitrine à travers l’étoffe. Le sillon entre ses jambes est inondé, et ce n’est pas de transpiration, tandis que la pointe de ses seins, dure comme un caillou, déforme son décolleté. — Tu ne te sens pas bien, mon amour ? Tu as trop chaud peut-être…— Non… pas trop chaud… répond-elle à bout de souffle.— C’est la fatigue ? Tu veux ...
    ... t’arrêter ?— Non, pas la fatigue… C’est ce truc…que tu m’as mis…ça me rend dingue…— Ça me rend dingue aussi, ma chérie, quand je te vois dans cet état. Tu veux y remédier rapidement ?— Ouiiiiiii…— Suis-moi, on va s’écarter du chemin et trouver un endroit confortable. A quelques mètres à l’écart nous trouvons un carré de verdure au milieu duquel je dispose une serviette, elle s’assied devant moi avec des gestes mesurés, comme si elle avait une entorse, retire sa robe et me dit dans un souffle rauque : — Je n’en peux plus…enlève-moi ces boules et prends-moi, vite !— Mais tu avais dit que tu attendrais ce soir !?— Non, pas ce soir…bourre-moi maintenant, tout de suite ! Cet aveu brutal et ce langage inhabituel me font immédiatement bander comme un cheval, et je me jette sur elle, mais en gardant mon short. Je commence à la caresser, en donnant à mes caresses la forme d’un voluptueux massage. À son degré d’excitation, ça devrait l’ennuyer, mais elle se détend au contraire, et je surmonte mes propres pulsions pour lui appliquer un traitement quasiment chaste. Elle respire profondément, se laisse tendrement calmer par mes mains que je promène sur tout son corps, sauf bien sûr, les parties les plus intimes. Pour la première fois de ma vie, j’ai résisté à l’appel du rut, alors qu’elle me le demandait crûment. Etonné moi-même, mais toujours avec une arrière pensée, je lui demande : — Ça va mieux ?— Oui…me répond-elle.— Tu veux encore te reposer ?— Non…Mais pourquoi ne m’as tu pas fait ...
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