1. A mon tour


    Datte: 14/10/2017, Catégories: fh, couple, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, fgode, pénétratio, fsodo, jeu,

    ... manœuvre un instant sans le montrer, et j’attends le résultat en souriant. Elle me regarde d’un air dubitatif et narquois, prête à une nouvelle critique, mais elle n’a pas le temps de la formuler et se plie en deux, les jambes coupées par la surprise. — Qu’est-ce que c’est ?— Quoi donc, mon amour ?— Dans mon ventre ! Ça vibre ! C’est quoi ?— Probablement l’objet que tu voulais essayer, ma chérie.— Un vibromasseur ? Et pourquoi ne marchait-il pas avant ?— Ce n’est pas un vibromasseur, et il marchait très bien quand je te l’ai introduit.— Alors qu’est-ce que j’ai dans mon vagin ? demande-t-elle d’une voix déjà un peu cassée par l’excitation.— Rien de grave, mon amour, juste un coup de téléphone.— Quoi ? mon téléphone ?— Oui, tu as un nouveau message. La vibration s’arrête et elle éclate de rire. Je la vois se toucher légèrement le sexe et je me remets à bander, constatant son amusement et son plaisir d’être ainsi attrapée. Elle s’approche et m’embrasse langoureusement, je la serre dans mes bras et elle me demande. — Il ne va pas s’abîmer, là où il est ? Tu sais que le précédent est mort dans une flaque d’eau, et je suis tellement trempée.— Rien à craindre, je l’ai noué dans un préservatif, comme font les trafiquants dans les aéroports.— Tu m’as l’air d’un sacré trafiquant. Tu n’as pas pris ton téléphone ?— Si, c’est moi qui viens de t’appeler.— Recommence, je te répondrai peut-être… Et c’est serrés l’un contre l’autre, mon bras autour de sa taille et un doigt sur la touche ...
    ... bis de mon appareil, que nous poursuivons notre descente. Elle ne cache plus son trouble maintenant, et j’ai moi-même une forte érection. Pliée en deux à chaque vibration, ma femme se masturbe allègrement pendant sa marche, et je ne tarde pas à en faire autant. Elle respire en haletant, et ce n’est pas sous l’effort. Bientôt elle s’arrête, les jambes coupées. Elle est encore plus rouge que tout à l’heure, et tient à peine debout. Secouée de spasmes incontrôlables, elle tord le bassin d’avant en arrière en plaquant sa main sur sa vulve. J’interromps mes sollicitations téléphoniques pour lui demander si elle veut que je la débarrasse de son appareil, et elle me répond dans un souffle : — Non, je veux seulement m’asseoir un peu… Nous trouvons un rocher qui s’y prête et elle me dit tout bas : — Assieds-toi le premier, on va faire un câlin… J’obéis en comprenant trop bien son intention, et j’y souscris volontiers. Face à moi, elle s’installe sur mes genoux en me montrant ses seins gonflés par le désir, et plus bas le triangle de son intimité. Je caresse de deux mains rageuses cette femme que j’aime tant, et je suce avec gourmandise tout ce qu’elle laisse à ma portée, me promettant de bientôt descendre plus bas. Elle frotte son sexe contre le mien, y passe la main, prend un peu de sa lubrification pour me la faire partager, sur toute ma hampe, sur mon visage, et dans mon dos. Elle sent bon, elle m’excite plus fort que jamais et en rajoute encore, avec des mots crus : — Prends-moi ...
«12...6789»