Christiane et Claude les parents de mon pote Jean-Louis (2) - Histoires de Sexe

Christiane et Claude les parents de mon pote Jean-Louis (2)

... positionné bien à l’entrée et il ne me manquait plus qu’un coup de reins pour me retrouver au plus profond de Christiane. Nous étions toujours en train de nous embrasser et quand mes yeux ont vu qu’elle fermait ses paupières pour m’inviter, j’ai contracté mes abdominaux et je suis rentré tout en douceur dans cette maman qui avait donné la vie à mon meilleur ami. C’est la mère de mon meilleur ami qui me prenait mon pucelage alors que son fils m’avait pris celui de derrière. J’ai progressé tout doucement et le frottement de ses parois intimes sur mon sexe me donna des sensations nouvelles et magnifiques. Nous étions toujours en train de nous embrasser, ses mains plaquaient mon corps contre le sien et ses jambes étaient en train de vouloir donner le rythme à mes fesses. Son regard à mon égard avait beaucoup changé, je ne voudrais pas être prétentieux mais j’avais l’impression de voir de l’émerveillement dans ses yeux. Une fois arrivé tout au fond de ma partenaire, j’ai commencé à me retirer, puis rentrer ; c’est ainsi que j’ai commencé à aller et venir en elle de longues minutes durant. Avec les petits mouvements d’air de sa robe je pouvais sentir l’humidité qu’il y avait à la base de mon sexe, c’était de la cyprine. Son fils m’avait donné beaucoup de plaisir pendant qu’il me limait mais maintenant je prenais tout autant de plaisir voire plus à besogner sa maman. Elle était en train de se déchaîner en me griffant le dos et fesses et l’arrière du haut des cuisses. J’ai ...

... commencé à prendre un peu d’assurance et j’ai glissé mes mains derrière son dos pour m’accrocher à ses épaules, en espérant ainsi prendre prise pour aller encore plus loin en elle. Ma technique était payante et je sentais que Christiane prenait du plaisir à chaque fois que j’allais toujours plus loin en elle. Je commençais à l’entendre soupirer et surtout pousser de petits cris de plaisir, c’était assez flatteur car cela laissait supposer que je lui donnais du plaisir. J’étais aussi en train de réaliser que j’étais en train d’honorer la mère de mon meilleur ami sur le lit conjugal, effectivement au-dessus de la tête du lit se trouvait une photo de Claude et Christiane lors de leur mariage. Cela aurait pu me couper mes effets mais cette maman me faisait tellement de bien que je ne voulais pas passer à côté d’un tel événement. À ma grande surprise ses mains sont arrivées au niveau de mon petit cul et j’ai eu le droit à deux doigts dans mon petit trou. Je ne vous raconte pas dans quel état cela m’a mis cela a accéléré le final de la perte de mon pucelage. Dans les minutes qui suivirent Christiane s’est mise à pousser de grands cris et manifestement à me griffer en profondeur. J’ai eu le droit à des phrases dans le genre: — Tu te rends compte tu viens de me faire jouir. — Tu viens de faire grimper au rideau la mère de ton meilleur ami. — Ta queue vient de me faire grimper au septième ciel. — Je suis sûre que je viens de te dépuceler. — Pour un coup d’essai c’est un coup de maître... ...