1. La mère de ma copine Elodie (2)


    Datte: 14/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... complètement, elle m’a totalement débarrassé de mon survêtement; puis est venue s’asseoir sur mon sexe en me tournant le dos. Ma chérie avait l’air bien plus excitée que moi et pourtant moi je l’étais déjà bien. Toutes les deux ou trois minutes elle changeait de position pour essayer de trouver celle qui était optimale pour lui faire le plus de bien. Elle est venue ensuite face à moi et m’a demandé que je la soulève pour l’emmener jusqu’au lit et que nous fassions attention à rester emboîtés. J’ai réussi à me lever, elle était fermement accrochée à mon cou mais surtout elle serrait très fort ses jambes autour de ma taille. J’ai quand même mis mes mains sur ses fesses pour la retenir un peu, ainsi nous avons pu nous retrouver dans la chambre. Je l’ai déposée sur le dos, ses jambes du coup étaient très écartées et là j’ai commencé à aller encore plus loin en elle. Je ne sais pas pour quelle raison mais ce soir Élodie était déchaînée nous avons fait l’amour comme des fous. Quand j’ai senti que j’allais partir en elle, je me suis retenu puis je suis descendu à la cave pour lui faire le plus grand bien possible. Depuis le temps que je lui mangeais son minou, elle adorait ça; j’en connaissais le moindre recoin sensible entre ses jambes. Elle avait réussi à me faire mettre à genoux sur le lit dans le sens inverse du sien, ainsi elle pouvait me caresser le sexe pendant que moi je lui mangeais sa friandise. À force de coups de langue ...
    ... répétés, mais surtout bien précis elle a fini par prendre son pied et du coup je l’ai à nouveau pénétrée. Ce coup-ci quand j’allais sentir remonter la liqueur, j’allais la laisser partir en elle; chose qui se produisit peu de temps après. Bien qu’ayant éjaculé en elle, j’ai continué un petit peu car je savais qu’à chaque fois elle prenait à nouveau son pied mais vaginalement chose qui s’est confirmé quelques minutes après. Nous sommes restés allongés une demi-heure côte à côte épuisé par l’effort animal que nous venions de produire. Moi qui pensais que nous avions fait ça à la va vite nous nous sommes levés pour rallumer la télé ce n’était plus Sebastien mais Ruquier. Je savais Élodie très dure en affaires dans son travail de tous les jours, mais à la maison elle était d’une douceur qui me laissait sans voix. Dans ma tête je culpabilisais car dans la même journée, je venais d’honorer deux femmes, dont l’une devait avoir 25 ans de plus que l’autre. Maintenant nous étions en train de nous endormir devant la télé Élodie était blottie contre moi mon bras gauche la tenait et lui réchauffait le dos. Vu qu’elle venait très souvent à la maison, il y avait même des vêtements à elle dans ma penderie. Quand j’ai vu qu’elle s’était endormie je l’ai prise dans mes bras pour l’emmener dans le lit pour que nous nous y endormions. J’étais vraiment très amoureux de ma belle. Si ce chapitre numéro 2 vous a plu j’y mettrai une suite. Bisous à vous 
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