1. Un trio


    Datte: 28/06/2017, Catégories: Première fois

    ... lèvres etson clitoris raidi. Sarah s’est mise à dire qu’elle voulait un mari aussi gentil quemoi qui serait un bon amant, qu’elle ne s’opposerait pas à ce qu’il ma mette enceinte.- T’as déjà fait l’amour avec une femme enceinte, a-t-elle fini par me demander ?Bien sûr, ça ne m’était pas encore arrivé. Elle m’a encore demandé si elle meplaisait. Je ne savais trop quoi répondre. Bien sûr, c’était tentant d’avoir cettefille dans mon lit tous les soirs mais j’avais peur qu’elle ne grossisse encore plus.Il y avait bien ses seins. J’avais toujours aimé les gros seins, peut-être parce quema mère n’avait pas cessé de me dire qu’elle n’avait pu m’allaiter et qu’elle avait dûembaucher une nourrice. Elle ajoutait toujours que je tétais comme un goulu et biensûr, elle racontait ça à mes tantes quand elles étaient enceintes et j’avais honte.- Prends-moi, maintenant, m’a dit Sarah en se relevant !Elle s’est penchée sur la table du salon et je n’ai pas eu besoin de dessin pourcomprendre ce que je devais faire. Je me suis mis derrière elle.- Tu veux que je t’encule, lui ai-je demandé quand j’ai vu la parfaite rosace de sonanus ?Elle n’a pas voulu au début, mais elle a fini par me dire que je pouvais essayer àcondition de ne pas lui faire du mal mais ce ne fut pas facile de le pénétrer parcequ’elle devait encore être vierge de ce côté-là. J’ai juste enfoncé mon gland puis jeme suis retiré en lui disant qu’on essaierait un peu plus à chaque fois qu’on feraitl’amour et ça a semblé lui ...
    ... convenir. Ne restait plus que sa chatte.- Ah, baise-moi, m’a-t-elle supplié quand j’ai été bien au fond !J’ai attrapé les hanches de Sarah et j’ai commencé à limer. Ses seins étaient coincéspar le bord de la table et à chacune de mes poussées, ils s’allongeaient un peu pluset j’ai limé pendant dix bonnes minutes jusqu’à ce que j’avertisse ma copine quej’allais jouir. Elle m’a dit que ça venait pour elle aussi et j’ai insisté. J’ai eul’impression qu’on m’arrachait les couilles tellement la dose était forte.- T’es content, m’a dit Sarah en se redressant. Elle a mis une main entre ses cuisses.Elle a ajouté que j’étais un cochon puis elle m’a demandé quand on recommencerait.Je n’en pouvais plus. Je l’ai accompagnée jusqu’à la salle de bains puis je lui aidonné un gant et une serviette et j’allais sortir quand elle m’a dit d’attendre. Elletenait absolument à me laver la bite et les couilles et quand ça été propre, elle m’adit que je pouvais sortir. Je l’ai laissée seule. L’eau a coulé un bon moment. J’étaisallé rechercher ses vêtements mais Sarah m’a dit que c’était ma sœur qui l’araccompagnait.Tiens, celle-là, où était-elle ?J’ai poussé la porte de la chambre. Ma sœur dormait sur mon lit et quand j’ai voulu laréveiller, Sarah m’a dit que ce n’était pas la peine et qu’elle pouvait coucher là.- Là, dans mon lit, lui ai-je répondu ?- Si tu préfères aller dans le fauteuil m’a répondu Sarah ? Euh, je voudrais te dire àpropos de ta sœur…Je n’avais pas le temps car j’avais sommeil et je me suis ...
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