En Afrique avec ma belle-mère
Datte: 06/10/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
alliance,
vacances,
amour,
Oral
69,
fdanus,
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... nous être préparés, Jeanne revint vers moi et je l’embrassai. Pendant cette rapide effusion, elle me dit : — On n’a pas le temps maintenant, attendons ce soir car je ne sais pas combien de temps cela prendra, mais tu essaieras de m’enculer quand on sera rentrés. Avec une telle promesse la sortie de ce jour ne pouvait qu’être belle. Heureusement que dans ma trousse de toilette j’avais un tube de lubrifiant, il me servirait bien avec ma belle-mère. Le car nous emmena visiter la brousse et s’arrêta dans un village où nous vîmes un spectacle de luttes africaines. Un repas de poisson grillé nous fut ensuite servi sous une grande paillote et chacun profita des mets préparés. Tout cela sentait beaucoup le théâtre pour touristes, mais on se doutait de ce qui nous attendait en faisant cette excursion. Pendant ce buffet Jeanne qui était à côté de moi me glissa à l’oreille : — Daniel, si je te dis que j’ai hâte que l’on rentre.— Tu as peur que les lutteurs ne t’enlèvent, rassure-toi, ils ne sont pas cannibales— Idiot, tu sais très bien ce que je veux dire. Et un large sourire vint sur ses lèvres. L’après-midi fut consacrée à la visite d’artisans proposant des tissus imprimés et sculptures sur bois et, vers 17 h, alors que le soleil commençait à tomber, le car reprit le chemin de notre village. Jeanne et moi, étions assis au fond du car, et il n’y avait personne sur la rangée de sièges. Elle profita de l’obscurité et de notre relatif isolement pour appuyer sa tête sur mon épaule et ...
... d’une main me caressait le sexe. C’était bien parti. Je lui demandai d’arrêter sinon je ne pourrais pas descendre du car avec une apparence normale. Après plus d’une heure de route, le car entra dans le village et tous les voyageurs allèrent vers leurs bungalows avant le dîner. Une fois dans le bungalow, un aimant terrible nous attira l’un vers l’autre. Nos bouches se soudèrent et nos langues se mélangèrent allègrement. Ce furent des baisers à en perdre haleine. — Tu veux me baiser maintenant ? me dit-elle.— Non, tu as dit ce soir alors c’est ce soir qu’on baise !— Puisque c’est ça, donne-moi une demi-heure, je prends une douche et vais m’habiller pour le repas et pour toi, mon chéri. Elle partit dans la salle de bain, j’entendis la douche couler et j’attendis devant la porte pour en prendre une à mon tour. Jeanne ressortit avec une serviette autour du corps et je me précipitai à mon tour sous l’eau. Dix minutes plus tard, j’étais douché, rasé, parfumé, prêt pour les festivités promises. Je ne vis pas Jeanne et allais enfiler un pantalon de lin crème sur une chemisette bleu ciel. — Daniel, où es-tu ?— J’arrive, Jeanne. Je la retrouvai assise sue le transat dans le jardin devant le bungalow et elle était vêtue d’une robe mexicaine blanche qui descendait jusqu’au sol avec une superbe écharpe autour de ses épaules. — On y va ? Elle prit ma main et on se dirigea vers le restaurant paillote. La salle était pleine et on ne trouva pas de place côté-à-côte. — Jeanne tu veux attendre pour ...