En Afrique avec ma belle-mère
Datte: 06/10/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
alliance,
vacances,
amour,
Oral
69,
fdanus,
fsodo,
... anus. Jeanne avait la tête enfouie dans l’oreiller et de petits cris sortaient de sa gorge après quelques minutes. Je sentis la jouissance venir de mes couilles, je nous fis basculer de façon à ce que Jeanne soit au-dessus de moi, en appui sur ses pieds et ses mains derrière elle et moi par-dessous, je me mis de nouveau à pistonner. Je demandai à Jeanne si ça allait, elle n’eut pas le temps de répondre, elle poussa un cri de plaisir puis dit : — Oh, Daniel, je n’aurais jamais cru que se faire enculer était si jouissif ; c’est le pied ! Continue je t’en prie, je te dirai d’arrêter. Mais pour moi, je ne pouvais plus continuer comme elle le demandait ; je répandis mon sperme dans son cul et j’avais l’impression que de longues giclées l’inondaient. Je transpirai à grosses gouttes et j’étais épuisé par les efforts fournis ; je sortis mon sexe de son petit trou et tombai sur le côté. Après un quart d’heure de repos, je pris Jeanne par la main et on alla prendre une douche en commun puis on retourna au lit et on s’endormit dans les bras de l’un et l’autre. Au petit matin, des lèvres douces me réveillèrent, Jeanne avait entrepris de me couvrir de baisers. Quel réveil ! Je n’avais pas encore repris assez de force pour répondre favorablement à cette invitation et le dit à Jeanne. — Quoi un jeune homme aussi vigoureux que toi, tu ne peux plus me baiser alors que j’en ai tant envie ? Pour la satisfaire, je la couchai sur le dos et entrepris de lui lécher la chatte et ce n’était pas une ...
... corvée, car j’adore cela. Cela dira bien une heure et Jeanne eut plusieurs orgasmes jusqu’à ce qu’elle me dise d’arrêter car ça devenait douloureux. Et de nouveau on s’endormit. La suite du séjour africain fut rythmé par nos copulations effrénées et fréquentes, je pense même qu’on a dû gêner nos voisins, mais, on était en vacances. Et elles passèrent avec une vitesse incroyable. Hélas, il fut temps de rentrer en France et je me demandais ce qu’il allait advenir de notre aventure une fois revenus à la maison mais je n’osais pas en parler avec Jeanne. Pourtant, en faisant nos valises, elle vint dans mon dos me caressa les épaules et me dit : — Daniel, comment vas-tu être avec moi à Paris, je serai ta belle-mère ou ta maîtresse ? J’ai douze ans de plus que toi, et dans quelques années, tu vas te lasser d’être avec une vieille ; je crois qu’il vaut mieux arrêter au plus vite cette aventure entre nous. Pour moi elle restera comme mon plus beau et dernier souvenir d’amour et pour toi que restera-t-il ? Je me retournai et la pris dans mes bras ; sans réfléchir plus avant, je lui dis : — Je veux continuer de vivre avec toi, je suis maintenant trop attaché à toi et à tout ce que tu représentes pour moi ; tu sais Jeanne, je ressens pour toi autre chose que de l’envie sexuelle, je crois bien que c’est de l’amour. Elle sauta dans mes bras et m’embrassa. — C’est vrai, ce n’est pas un mensonge ? Et Leslie ? Tu vas reprendre ta vie avec elle, mais on se verra quand même souvent tous les deux ...