En Afrique avec ma belle-mère
Datte: 06/10/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
alliance,
vacances,
amour,
Oral
69,
fdanus,
fsodo,
... seuls points d’appui étaient maintenant mes orteils en extension, et mes mains sur ses mollets. Je commençais alors un lent mais régulier mouvement d’avant en arrière. — Fais-moi mal, va au fond, je veux mieux te sentir. J’appuyai sur son bassin de tout mon poids et elle cria : — Aie, aie, aie, pas si loin, tu vas me déchirer ! Je me redressai sur les genoux, ses jambes reposaient sur mes épaules et je continuai mon mouvement avec moins d’ampleur. Elle commença à dodeliner de la tête, je passai une main entre nous et mes doigts atteignirent son clitoris, la conjugaison de mon sexe et de mes doigts provoqua en elle un orage soudain et elle roula les hanches de gauche à droite. J’en profitai pour accélérer, ma jouissance arrivait. C’est un râle commun qui nous réunit et nous nous sommes affalés l’un sur l’autre en nous donnant des baisers passionnés. J’étais fatigué, elle devait être dans le même état que moi, mais nous primes le temps de passer à la salle de bain pour prendre en commun une nouvelle douche. Puis on se coucha dans les bras l’un de l’autre et le sommeil fit son œuvre. C’est vers dix heures que des toc toc sur la porte me réveillèrent. — Un instant s’il vous plaît, j’arrive. Je passai très vite un maillot de bain et allai ouvrir. Je me trouvai en face d’une charmante Ivoirienne qui voulait faire la chambre. Je lui demandai de revenir d’ici un quart d’heure, le temps de réveiller Jeanne. Ma belle-mère qui n’avait rien entendu, dormait à poings fermés. Je l’appelai ...
... : — Jeanne, Jeanne, réveille-toi ; il est 10 h du matin et la femme de ménage veut faire la chambre. Avec un bâillement sonore elle s’étira et s’accrocha à moi en disant : — Bonjour, mon Daniel. Tu veux encore me gâter ? Visiblement, elle n’avait pas entendu ce que je lui avais dit. Je lui répétai que la femme de chambre voulait faire la chambre ; elle se précipita hors du lit et alla vers la salle de bain. De nouveaux toc -toc retentirent à la porte, j’allai ouvrir et laissais entrer la femme en charge du ménage de notre bungalow J’avais faim maintenant, ça devait être pareil pour Jeanne, mais j’avais bien peur qu’il soit trop tard pour prendre notre petit-déjeuner. Afin de m’en assurer, je partis en courant vers la paillote restaurant ; mes craintes étaient malheureusement fondées, toutes les tables étaient desservies et les premiers préparatifs du déjeuner avaient commencé. Je demandais où on pourrait trouver à cette heure de quoi boire et manger car nous n’avions pas pris le petit déjeuner ; on me dit que le bar était l’endroit adéquat pour exaucer ma demande. J’y allai donc et demandai s’il était possible d’emporter dans mon bungalow, de quoi boire du thé, du café avec du pain, du beurre et de la confiture. Le serveur, certainement habitué à ce genre de demande à une pareille heure, me lança un sourire en disant : — Vous avez une tête toute chiffonnée ; vous n’êtes pas malade au moins ?— Non, pas de problème, je manque seulement de sommeil.— Dans ce cas, ce que je vais ...