Les nièces jumelles : saison 3 (4)
Datte: 14/10/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
Chapitre 4 : Notre quotidien Quand elles ont emménagé chez moi, j’ai toujours su que vivre avec deux adolescentes ne seraient pas facile. Je pensais que les choses iraient mieux quand elles seraient plus adultes ; j’avais tort, c’est toujours aussi difficile, juste pas de la même façon. Elles sont jeunes, elles sont belles, leurs hormones les travaillent et, peut-être à tort, je leur ai appris à ne pas en avoir honte et à se laisser aller. Du coup, alors qu’autrefois elles étaient turbulentes juste parce que c’était deux gamines qui voulaient s’amuser, aujourd’hui, elles sont toujours aussi turbulentes car elles ne pensent qu’à baiser. L’autre jour, je rentre crevé après une rude journée de boulot, et je retrouve une des jumelles à genoux devant un des fauteuils en train de faire un cunni à sa sœur : — Tonton, tu viens nous rejoindre ? me dit celle qui se fait lécher. — Non, merci, je suis vanné. Je ne sais même pas laquelle est laquelle. Quelqu’un de normal serait sans doute scandalisé : ce sont deux filles, elles sont de la même famille, et elles font ça sans gêne dans le salon. Sauf que dans cette maison, ce genre de scène arrive presque quotidiennement ; c’est devenu banal. Il est tard alors je vais nous préparer le diner. Rien de très spécial, un truc facile, juste des pâtes carbonara. Tandis que je m’attèle à la tâche, je peux entendre leurs gémissements de là où je suis : — Oh ! Ah ! Oui ! Megan ! Vas-y ! Continue ! — Oooh Lucy, je t’aime. — Oh, moi aussi, ma ...
... sœur ! Je vais jouir ! — Moi aussi ! Aaaaaaaaah ! — Aaaaaaaaaah ! Non, vraiment, tout ce qui a de plus banal. Alors que le repas est presque prêt, je les vois débarquer dans la cuisine à quatre pattes complétement à poil : — Mais qu’est-ce qui vous prend toutes les deux ? — Ça sentait bon, on est venu voir ce que c’était, dit l’une. — Ouais, ça sent la bite, dit l’autre. Sans que j’aie mon mot à dire, elles rampent jusqu’à moi puis s’accroche à mon pantalon pour en ouvrir la braguette. Enfin… « sans que j’aie mon mot à dire », j’avoue que je les laisse un peu faire aussi. — Nous avons très faim ! s’exclame une jumelle. Elles sortent ma queue et commencent à me sucer. Je sais, c’est mal, ce sont mes nièces, mais je reste un homme ; alors quand vous avez deux petites chiennes à la maison qui réclament votre bite, vous ne réfléchissez pas, vous la leur donner. Quand je pense qu’elles étaient encore vierges et innocentes il y a moins d’un an. Aujourd’hui, ce sont des vraies reines de la pipe ; les enfants grandissent trop vite. Elles sont si belles : de longs cheveux noirs, des formes généreuses, et une énorme paire de nibards. Merde, je sais que je ne suis qu’un sale pervers, mais je serais tellement jaloux de savoir qu’elles sont sexuellement actives sans que je puisse moi-même en profiter. Je pensais qu’elles me feraient éjaculer sur leurs figures, mais elles sont pires que ça. L’une prend la casserole de sauce, puis elles me traient toutes les deux pour me faire éclater dedans. ...