1. Une stagiaire reconnaissante


    Datte: 08/10/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail hotel, Oral pénétratio,

    ... honneur à deux bouteilles de vin avant de rentrer bras dessus, bras dessous à l’hôtel dans une humeur assez joyeuse. Louise me dit alors : — Je prends une douche, ensuite ce sera ton tour et je t’offre un massage en échange de celui que j’ai eu ce matin.— Ok, mais je t’avertis que je n’ai pas de pyjama, j’étais sensé avoir ma chambre si tu te souviens.— Je ne regarderai pas, me dit-elle en riant. Après la douche, elle m’invita à m’étendre sur le lit afin qu’elle puisse me masser le dos. Je n’avais qu’un boxer. Ses mains commencèrent à explorer mon dos, elle s’installa à califourchon sur mes fesses. Elle combinait des caresses douces avec d’autres un peu plus musclées. Je me détendais, sauf une partie de mon corps qui durcissait de plus en plus. Après quelques minutes de bonheur elle me demanda de me retourner. — Oh ! Je vois que tu es encore un peu tendu. Elle était étendue tout près de moi. Sa main droite effleurait le tissu de mon boxer et mon membre était tendu à l’extrême. Elle se rapprocha encore un peu plus de moi, nos lèvres se joignirent et s’ensuivi un baiser fougueux. Sa main masturbait mon sexe par-dessus le tissu, de lents mouvements de bas en haut, je voulais quitter ce tissu qui m’emprisonnait. Elle devina mes pensées et m’enleva le vêtement qui me gênait. Sa main reprit ses mouvements, parfois lentement, parfois plus rapidement pendant que nos langues continuaient à s’explorer. Ma respiration se faisait plus haletante. Il y avait quelques mois que je n’avais ...
    ... pas couché avec une femme et, avec le boulot, je pense que je n’avais pas éjaculé depuis quelques semaines. Sa main quittait mon sexe, empoignait mes bourses et les massait doucement. Subitement, elle abandonna nos baisers, plaqua mes épaules sur le lit et en se retournant, approcha sa bouche de ma verge. Je sentais le souffle chaud sur mon gland et quand sa langue en fit délicatement le tour, je dus me retenir pour ne pas jouir sur le champ. Sa main reprit ses mouvements tandis qu’elle me léchait. Elle sentit que j’étais sur le point d’éclater et, d’un mouvement vif, serra très fort mon sexe à la base. Douleur et plaisir se mêlaient dans mon esprit. Elle se retourna, me regarda avec avidité, je sentais dans son regard qu’elle était maintenant transformée en objet sexuel. J’avais réussi à étirer ma main jusqu’au bas de son ventre. Il semblait y avoir une véritable inondation dans sa culotte. Le tissu me gênait, mais j’étais quand même capable de lui faire des caresses qui la faisaient frémir. Elle se retourna à nouveau et reprit sa besogne. Je n’étais qu’un sexe étiré à l’extrême. À chaque mouvement de sa langue sur ma verge, je tendais mon corps vers le haut afin de me retrouver un peu plus dans sa bouche chaude. Je recommençais à avoir le souffle court, elle devina que je ne pourrais tenir encore bien longtemps. Sa bouche couvrit alors entièrement ma verge et elle entreprit de me sucer encore plus fort. Sa main me massait les couilles de plus en plus fort. Je n’en pouvais ...