Du repassage pour Colynn (1)
Datte: 08/10/2020,
Catégories:
Transexuels
La nature a décidé que je naisse garçon, et c’est donc avec ce corps que je passais mon enfance, auprès de ma mère, puisque mes parents s’étaient séparés peu après mon arrivée en ce monde. Pendant mon adolescence, je compris très vite que mes attirances n’étaient pas celles d’un garçon. Ma mère était jolie, grande avec de longs cheveux, et très méticuleuse. J’aimais la regarder cuisiner, faire son ménage, mais par dessus tout, j’adorais la voir faire son repassage. C’était un moment particulier et d’une grande sensualité. Je prenais du plaisir à observer ses mouvements, ceux de son corps, ceux de ses mains, sa façon de passer le fer sur le linge fumant de vapeur, on voyait bien qu’elle appréciait ces moments, et le joli sourire discret qui pouvait se lire sur son visage en disait long et cela m’intriguait beaucoup. Un soir, alors que j’étais couché depuis une dizaine de minutes, ma mère qui venait de terminer son repassage entra pour me souhaiter une bonne nuit. Je l’entendait regagner sa chambre à l’étage, puis je laissais passer quelques minutes avant de me lever à pas de loup. Je traversais le couloir qui menait au salon, puis j’arrivais dans la cuisine ou ma mère venait de repasser. Le fer bien que débranché depuis une vingtaine de minutes environ était encore un peu chaud, mais pas assez pour l’utiliser. Je décidais de rebrancher l’appareil et le voyant lumineux me confirmait qu’il était à nouveau en marche. Malgré ma discrétion, le fer faisait des bruits de ...
... dilatation, et une agréable et douce odeur de métal chaud envahissait la pièce. Si ma mère descendait, j’aurais beaucoup de mal à expliquer cette situation, cependant, j’étais très excité. J’étalais un de mes tee shirt sur la table, puis d’une main fébrile, je pris le fer, et le fit glisser sur le tissu. La sensation étais douce et j’essayais de reproduire les gestes de ma mère, soudain une érection montais dans mon caleçon, tant mes sens étaient sollicités. Ma main gauche sur le fer continuait de repasser, et la droite masturbait énergiquement mon sexe. La chaleur, les odeurs du fer brûlant sur le linge ainsi que l’excitation extrême me déclenchèrent un orgasme puissant. Mon corps enfin calmé, je débranchais et remettait tout en place, comme si rien ne s’était passé. Une fois dans mon lit, je m’endormais en repensant à la scène et à cet orgasme final, je savais à présent que je recommencerais. Pendant le petit déjeuner, je faisais profil bas et j’évitais de regarder trop ma mère, car j’avais l’impression que mon aventure nocturne se lisait sur mon visage. Pourvu qu’elle n’ai rien remarqué de suspect en rangeant son fer dans le placard. Au cours des années suivantes, j’ai recommencé à utiliser le fer à repasser de ma mère à chaque fois qu’elle s’absentait, ou que j’en avait l’occasion, et j’ai même acquis une certaine expérience en la matière. Je me posais beaucoup de questions sur mes penchants et je me sentais fille de plus en plus, si bien que je décidais de tenter de me travestir. ...