1. Julie 2


    Datte: 08/10/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Déjà quinze jours. Antoine et moi filons le parfait amour. Téléphone, SMS et rencontre dès que nous le pouvons. C’est toujours chez lui que ça se passe. Chez moi, je n’ose pas. C’est une partie de ma vie que je ne peux pas partager encore avec lui. D’ailleurs je ne le désire pas. Tu es rentré, Laurent. Tu as exigé de rencontrer Antoine pour me donner ton accord pour cette relation. Vous vous êtes croisés dans un bar. Pour Antoine cette rencontre avait l’air fortuite, mais il n’en était rien. J’avais une boule au ventre, tant j’étais angoissée à l’idée que tu puisses interrompre notre relation. Voilà que je me trouvais avec mon éducateur et mon amoureux, un petit peu gênée aux entournures. Mais ça s’est plutôt bien passé. Tu t’es présenté comme mon prof particulier du temps du lycée. C’est vrai que j’avais un peu oublié comment tout à commencé… J’étais en terminale, pas mauvaise élève mais un peu glandeuse. Un vrai dilemme, pour passer le concours auquel je voulais accéder, il fallait que je me mette au boulot sérieusement. Ma mère m’a dit : Julie, fini les sorties. Si tu veux que ça marche cette année, il faut donner un coup de collier. On est prêt à te payer des cours particuliers, mais il faut que tu mettes du tien. Je connais quelqu’un qui assure, c’est Laurent il est prof. Tu te souviens, il est déjà venu manger. Visiblement, je l’avais zappé. Sans doute je l’avais salué quand il est venu, mais sans plus. Je dois dire que le calme et la sérénité que cet homme d’une ...
    ... quarantaine d’année m’a rassurée à notre première rencontre. Son exigence, sa fermeté me convenait, il n’y avait jamais de dureté ni colère, il est vrai que je jouais le jeu. Ses mains quand elles guidaient mon crayon et me frôlaient, sa voix grave m’électrisaient. Il avait ouvert ma boite à fantasme. Après les cours je me faisais seule un cinéma, la main dans la culotte. Je me mettais dans un état d’excitation incroyable, d’autant qu’à l’époque mes caresses ne me donnaient pas encore d’orgasme et mon excitation ne pouvait que difficilement se calmer en me pinçant très fort les seins jusqu’à la douleur. Plusieurs fois, je l’ai accueilli alors que je m’étais branlée pendant plus d’une demi-heure. Ma culotte était trempée mes doigts sentaient le sexe. J’avais l’impression qu’il ne pouvait manquer l’odeur de sexe que je dégageais. J’avais honte de moi. Il ne semblait se rendre compte de rien et donnait ses explications avec calme. Après les cours je reprenais mes activités masturbatoires, parfois avec des pinces à linge sur les seins. Je m’introduisais aussi divers objets dans l’anus que je faisais aller et venir. Puisque mon sexe, était alors encore un organe inerte, le plaisir que je prenais était intimement lié à la douleur. Et la douleur les dilatations que je m’infligeais suffisaient à m’apaiser A l’époque je n’étais plus vierge depuis longtemps, j’étais ce qu’on appelle une fille facile. J’enquillais les aventures sans beaucoup d’intérêt pour faire comme les autres. J’étais ...
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