Au commencement, il y avait Natalia - Histoires de Sexe

Au commencement, il y avait Natalia

... cratère vermillon de notre salope qui se comprime les tétons entre les doigts. Le tissu du short se dresse, soulevé par la lance qui risque d’un moment à l’autre de le transpercer. Soudain, dépassant du bas du short, le gland violacé de Robert apparaît. Ben plonge une nouvelle fois sa main dans le ventre de Natalia, laquelle, en ressortant, produit un bruit de ventouse qui fait disjoncter Robert. Il grogne, jappe et déchire le short comme s’il s’agissait d’un string que s’arracherait une strip-teaseuse. Ben fait coulisser sa main dans la moule de Natalia, arrachant à cette dernière des cris de plaisir. Robert, la queue collée à sa bedaine se jette sur Natalia (ou bien est-ce sur Benoît ?) *** Je suis impressionné par les dimensions et l’allure du sexe de notre troisième larron : une sorte de crépinette, aussi large que longue, sur laquelle le maillage serré des veines dilatées passe pour un amas verruqueux. Le bonhomme paraît donc affublé d’un improbable sextoy qu’il enfile en Natalia avec un bruit de succion odieusement érotique. La scène a quelque chose de burlesque, on dirait un projectile tiré dans la cavité vaginale de notre maîtresse. L’animal lui arrache quelques couinements, ce qui semble le contenter au plus haut point – sans doute ne s’imagine-t-il pas combien elle peut hurler son plaisir lorsque je la besogne comme il faut. Il lâche quelques grognements me rappelant ce charmant documentaire sur les grizzlys, avec lesquels il partage les proportions et le crin ...

... brun et dense. Je suis un peu déçu, néanmoins. Je pensais que la voir prendre son pied en se faisant ramoner par Robert, dont le tempérament libidineux semble rayonner autour de lui, m’emplirait d’une excitation astronomique. En fait, j’ai seulement l’impression de voir un mauvais porno, rythmé par le claquement flasque des cuisses de Robert contre les fesses de Natalia. Si c’est pour ça, autant que ce soit avec Giacomo, c’est toujours plus fun, d’autant que lui est ambidextre. Malgré tout, le spectacle est distrayant. Natalia finit par jouir poliment. Robert continue de lui pistonner le cylindre, sans beaucoup plus de résultats pour elle. Elle me jette un regard dans lequel une certaine lassitude peut se lire. Puis, un petit sourire qui se dessine au coin de sa bouche me fait comprendre qu’elle a une idée. Mains sur les épaules, elle le repousse un instant : — Minute, papillon, on va pas faire le réveillon sur ma nénette, ok ?— Heu…— Ça te dirait pas de varier un peu les plaisirs ?— Si, bien sûr !— Alors, regarde ça, mon bichon ! Et Natalia de s’asseoir à genoux sur le fauteuil, cambrée à outrance, lui tendant ses fesses comme on agite un appât devant le nez d’une bête sauvage. Elle a cette grâce féline, lorsqu’elle est à quatre pattes, ondulant du fessier, les faisant vibrer comme ces bombes atomiques des clips de R’n’B. Robert tremble de partout en voyant le petit orifice plissé de notre petite chérie palpiter entre les deux monts blancs. Natalia a cette faculté étonnante – ...