1. Latifa reprend du service


    Datte: 10/10/2020, Catégories: f, ff, fff, asie, cadeau, prost, nympho, bizarre, amour, fsoumise, fdomine, humilié(e), vengeance, jalousie, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, pied, Masturbation Oral fdanus, jouet, zoo, sm, donjon, attache, BDSM / Fétichisme baillon, yeuxbandés, fouetfesse, humour, aventure,

    ... complaisance et aimer ça. Ces vidéos me troublent. Elles exacerbent mon désir. Élodie s’en rend compte, me prend tendrement dans ces bras. Elle murmure : — Tu sais, il faut faire attention : ces choses-là sont dangereuses. Je le sais bien, et c’est sans doute pour cela qu’elles m’attirent. Elle sait comment calmer ma libido, au moins d’une manière provisoire : en m’entraînant sur le lit afin d’y poursuivre l’étreinte interrompue. Elle aussi a les sens en feu, par contagion. Elle me met à nu, d’un geste où le tissu glisse le long de ses jambes, en souplesse, et ce geste-là me rend plus folle encore. Ses doigts furètent dans ma toison. J’écarte les jambes au maximum afin que tout ce que j’ai d’intime à lui offrir lui soit facilement accessible. Elle bloque mes mouvements, non pas avec des cordes comme hier, mais d’une immobilisation de judo, un sport qu’elle pratique depuis l’enfance, assidue au dojo, et maîtrise en experte. Je sens ses muscles vifs de contracter au-dessus de moi. Elle n’a pas un gramme de graisse en trop. Je ne cherche pas particulièrement à me libérer, mais je lui résiste un peu afin de l’obliger à user de son art du combat pour me dominer physiquement. Dans l’effort, quelques gouttes de sa sueur pleuvent de son front et s’écrasent sur ma peau ; d’autres glissent depuis son aisselle le long de son bras et je me délecte du nectar salé d’un rapide coup de langue. Puis ses menottes lient mes poignets dans mon dos. Elle m’a déjà expliqué qu’on apprend cela à ...
    ... l’école de police : immobiliser très vite en usant d’un minimum de violence. Entraves d’inox, serrées, qui mordent cruellement la peau. J’aime ça. Elle me manipule sans douceur, et voici qu’une autre paire de menottes relie maintenant un poignet à l’une de mes chevilles. Ce n’est sans doute pas très académique, comme immobilisation, mais je me sens ainsi furieusement vulnérable. Elle prend du recul pour observer son œuvre de « shibari » policier pour laquelle il ne resterait plus qu’à me suspendre au plafond pour que ce soit complet, libère la cheville captive afin d’emprisonner l’autre, et hoche la tête, satisfaite de l’esthétique de sa façon d’enchaîner. Je regarde autour de moi. Des peintures qui sont accrochées aux murs, l’auteur est la victime dont nous recherchons les responsables de la mort. Sur l’une d’elles, Carine s’est représentée elle-même, nue devant un miroir. Elle n’a pas cherché à tricher et s’est peinte avec les défauts – très discrets – de son corps. Ce n’est pas une nudité à visée érotique, mais celle de quelqu’un qui vit seule et sort de la douche, s’apprêtant à s’habiller. Pourtant, il s’en dégage une force immense, celle de sa féminité, une énergie que l’on sent prête à se déployer. Le calendrier mural est rempli de rendez-vous : coiffeur, dentiste, cours de danse, piscine… Une vie à pleins poumons. Quel gâchis ! Carine, dans son tableau, semble m’observer alors que je jouis dans un long gémissement, alors que les doigts d’Élodie m’explorent en même temps le ...
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