1. Latifa reprend du service


    Datte: 10/10/2020, Catégories: f, ff, fff, asie, cadeau, prost, nympho, bizarre, amour, fsoumise, fdomine, humilié(e), vengeance, jalousie, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, pied, Masturbation Oral fdanus, jouet, zoo, sm, donjon, attache, BDSM / Fétichisme baillon, yeuxbandés, fouetfesse, humour, aventure,

    ... détruite par les bulldozers et remplacée par un hôtel de luxe (2) ? De toute façon, pas le temps. Dès l’ouverture après la pause du midi, je fonce à la dernière adresse qu’a fréquentée Carine, où a probablement eu lieu la rencontre fatale. En marchant, le boîtier de l’émetteur que je dissimule dans ma zone intime me procure de délicieuses sensations. Dommage qu’il ne vibre pas. C’est un rez-de-chaussée d’un hôtel particulier en pierre blanche, un bâtiment étrangement incliné parce que le sol est meuble, du style de ceux que se sont fait construire, il y a deux cent cinquante ans, les marchands enrichis par le commerce triangulaire, comprenez le trafic d’esclaves. C’est maintenant la devanture d’une société d’intérim spécialisée dans le tertiaire. Autre temps, autre monde du travail, autres servitudes. Cœur battant, je prends une grande respiration avant de pousser la porte. Advienne que pourra. Une hôtesse tout à fait avenante m’accueille, du genre jeune brunette aux yeux doux, prénommée Adrienne si j’en crois le badge de son uniforme bleu. Je lui explique que je cherche du travail, que la précarité ne me dérange pas – vaste blague ! – et lui remets mon CV. Celui-ci a la particularité d’évoquer ma brève expérience dans le métier d’actrice, pour un genre de films où la tenue vestimentaire est des plus réduites, d’où le silencieux hochement de tête de celle qui le lit. Sans doute grâce à ce détail, j’obtiens illico un rendez-vous avec la patronne qui va me recevoir dans son ...
    ... bureau, à l’étage. Bon début ! Me voilà introduite dans le luxueux appartement qui sert de bureaux à cette société. Nul doute que l’argent coule à flots, trop sans doute pour croire qu’ils en restent à des activités légales. Je m’assieds sur une chaise, et attends que Madame Big Boss daigne me recevoir en entretien. Quand s’ouvre la porte du fond, je me lève. Surprise ! C’est Nolwenn, tirée à quatre épingles, maquillée, parfumée, et accompagnée d’une secrétaire. Curieusement, elle ne semble pas étonnée de me voir ici. Nous avons vécu ensemble pendant plusieurs années, nous sommes séparées, retrouvées, et séparées de nouveau depuis bientôt deux ans. — Décidément, dit-elle, il faut toujours que je te trouve sur ma route ! Que me vaut l’honneur de ta visite dans ma petite entreprise ?— Dis-moi, Nolwenn, que tu n’as rien à voir avec ce qui est arrivé à Carine Dupuis, et je te laisserai tranquille !— Ah oui, Carine… pourquoi fallait-il qu’elle me trahisse, aussi ! Je l’ai toujours correctement traitée, il me semble. Mais l’appétit pour le fric ! Toi aussi ? Cela ne te ressemble pas ! Dis-moi, tu me réclames combien ?— Tu n’as rien compris : je ne viens pas te faire chanter, mais pour que tu assumes tes responsabilités si tu en as dans ce crime horrible. Parce que tu l’as tuée, n’est-ce pas ? Si oui, tu vas devoir payer, tout simplement. Elle part dans un rire immense qui me déconcerte. Comme si j’étais un clown aux valeurs obsolètes. La secrétaire qui l’accompagne – une petite ...
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