1. Latifa reprend du service


    Datte: 10/10/2020, Catégories: f, ff, fff, asie, cadeau, prost, nympho, bizarre, amour, fsoumise, fdomine, humilié(e), vengeance, jalousie, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, pied, Masturbation Oral fdanus, jouet, zoo, sm, donjon, attache, BDSM / Fétichisme baillon, yeuxbandés, fouetfesse, humour, aventure,

    ... un pan de mur est grillagé. La première chose que je remarque dans ma prison est la présence de deux caméras vidéo prenant des images selon deux angles différents, de sorte qu’aucun endroit ne se trouve hors champ. Il y a un lit étroit et un W.C. sans lunette. C’est tout. Aucun vêtement ne m’est fourni, de sorte que je reste complètement nue. Fatiguée, je m’allonge sur la couverture. Il n’y a plus qu’à attendre. En ce moment même, faute de pouvoir me localiser, Élodie doit se faire un sang d’encre. Je pense à elle avec tendresse. Je m’endors pour une sieste dont j’ignore la durée. Enfermée, je perds la notion du temps. Mon sommeil est agité et mon rêve de nouveau peuplé d’une araignée qui me mord sans que je sois capable de me défendre. Je perçois également, d’une manière confuse, une ombre penchée sur mon corps. Une ombre inquiétante, malveillante. Je m’éveille en sueur, légèrement fiévreuse. Mon sexe est mouillé : j’ai dû me caresser en dormant, la vessie pleine. Me soulager me fait un bien fou. J’ai le bas-ventre en feu, d’un incendie d’une rare intensité. Je me demande si quelqu’un regarde en direct les images que prennent les caméras. J’aimerais bien que oui, parce que, couchée sur le dos, je me caresse longuement en prenant soin d’être bien en face de l’objectif sur lequel je fixe mon regard. Le goût de m’exhiber me prend aux tripes et amplifie le plaisir que je m’offre. Je me cambre et gémis, les cuisses écartées. L’orgasme vient très vite ; il me dévore avec une ...
    ... violence inouïe. Il retombe à peine avant qu’un autre lui succède, plus puissant encore. J’ai inondé mes draps de cyprine. C’est épuisant, mais je ne trouve pas le courage de cesser : il me semble que mon sexe a pris le contrôle de mon esprit. Maintenant, j’ai peur. Sous l’oreiller, je découvre deux vibromasseurs et un sachet de lubrifiant gynécologique. La prévenante Nolwenn connaît mon goût pour les jouets sexuels dont j’use et abuse avec ou sans partenaire. Son but est-il simplement de se rincer l’œil ? Ou vendre des vidéos coquines de ses victimes qu’elle kidnappe et enferme ? Ou bien est-ce une sorte de dernière cigarette avant de mourir horriblement chatouillée ? Je me demande ce que je ressentirai avant de succomber. De nouveau, je sombre dans un sommeil bizarre, comme s’il avait été provoqué par un somnifère. Quand je m’éveille, la Doctoresse et Nolwenn sont à mon chevet. Celle-ci tient un plateau sur lequel se trouvent un repas chaud et un sac plastique. — Tiens, voilà des vêtements : je me suis dit que tu devais avoir froid. Et faim, aussi : je t’ai cuisiné ton plat préféré, des lasagnes à la bolognaise. Cela tombe bien, car je suis affamée. D’abord, je me rhabille, car j’ai assez joué les naturistes. Tout en mangeant accroupie sur le lit, je découvre soudain la trace d’une piqûre sur mon bras gauche, juste à l’endroit où l’araignée m’a piquée dans mon rêve. — C’est quoi, ça, m’entendent-elles protester en montrant mon bras ? Vous m’avez injecté des saloperies pendant ...
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