Latifa reprend du service
Datte: 10/10/2020,
Catégories:
f,
ff,
fff,
asie,
cadeau,
prost,
nympho,
bizarre,
amour,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
vengeance,
jalousie,
dispute,
Voyeur / Exhib / Nudisme
vidéox,
pied,
Masturbation
Oral
fdanus,
jouet,
zoo,
sm,
donjon,
attache,
BDSM / Fétichisme
baillon,
yeuxbandés,
fouetfesse,
humour,
aventure,
... mort sera douce.— Laisse-moi, je t’en prie… attache-toi, torture-moi, fais de moi ce que tu veux, jusqu’à ce que j’en crève si ça te fait plaisir, je ne t’en voudrais même pas. Mais je n’ai pas besoin de cela… je ne veux pas de tes cochonneries dans mes veines.— Ne bougez pas, dit la femme médecin au crâne écarlate tatoué qui semble plus menaçante que jamais. Je vous promets que je ne vous ferai pas mal si vous ne résistez pas, et après, vous vous sentirez bien, apaisée. Mais me sentir artificiellement bien n’est pas du tout ce que je veux. Toute ma vie, j’ai toujours voulu, au contraire, tout vivre intensément, quitte à souffrir. D’ailleurs, à cause de ma récente expérience, je doute que ce soit vraiment un sédatif. Au moment précis où l’aiguille s’enfonce mon bras, j’effectue, malgré mes liens, le mouvement sec qui brise l’aiguille et fait tomber la seringue au sol, où le produit se répand. Là, j’ai mal. Qu’importe. — Tss, quel gâchis, fait la Doctoresse en ôtant le morceau d’aiguille restée plantée dans mon bras. C’était la dernière dose. Il me faudrait trop de temps pour en préparer une autre.— Tant pis pour toi, Latifa, dit Nolwenn. C’était la dernière chose que je pouvais faire pour t’aider. En conséquence, tu vas dérouiller d’une manière que tu n’imagines même pas. Je ne voudrais pas être à ta place. La Doctoresse me libère les mains et me propose une dernière cigarette que je refuse – j’ai arrêté, c’est mauvais pour la santé –, et me tend un verre de rhum que je ...
... prends pour le lui balancer à la figure. Elle hausse les épaules. On me laisse seule avec Adrienne qui me tend mes vêtements aussitôt enfilés. Ensuite, des fers ceignent mes poignets ensemble, dans mon dos, ainsi que mes chevilles, reliés à de lourdes chaînes elles-mêmes scellées dans le mur. Pas de danger que je m’échappe. Je dévisage ma jolie geôlière, apparemment postée là pour me surveiller personnellement. Elle est toute jeune, sans doute pas beaucoup plus de vingt ans, et me sourit tristement. Je lui rends naturellement son sourire. — Je ne sais pas comment tu fais pour être aussi détendue, dit-elle. D’habitude, à ce moment-là, les prisonnières sont en larmes et supplient misérablement qu’on les épargne.— Ça m’avancerait à quoi ? Tu me libérerais, si je te suppliais à genoux ?— Non. Si je cédais, je me retrouverais aussitôt à ta place.— Tu es belle. Si je ne savais pas que tu es une hétéro, je te ferais la cour.— C’est Murena qui t’a dit ça, parce qu’elle m’a vue me faire baiser par un mec sur son fameux fauteuil, c’est ça ?— Oui. C’est faux ?— C’est vrai, mais homme ou femme, je m’en fous. Ce que les gens ont entre leurs jambes ne m’intéresse pas.— Décidément, je ne m’habituerai jamais à l’appeler comme ça : je la connais sous le prénom de Nolwenn. Et moi, je te plais ?— Oh oui ! Mais, tu vois, j’ai absolument besoin d’argent, parce que j’ai contracté une dette que je ne parviens pas à rembourser, auprès de gens qui ne plaisantent pas. À défaut de payer, je risque de me ...