1. A la piscine, en silence (2)


    Datte: 15/10/2017, Catégories: Hétéro

    Écartant ses cuisses afin qu’elle s’offre à moi, je me couche sur elle alors que la belle inconnue de la piscine regarde, avec convoitise mais toujours sans prononcer un seul mot, mon gros sexe qui est sur le point de l’empaler. J’entre en elle lentement, je la prends sur le carreau froid. Son gémissement fait écho dans toute la piscine. Immédiatement je me mets à la pilonner vite et fort. Nous ne sommes pas là pour faire dans le sentiment. Elle n’est qu’un instrument de mon plaisir et je devine que je ne suis moi aussi qu’un instrument du sien. Il y a une symétrie dans l’exploitation de nos corps, et, même sans un mot, les contours du bref contrat qui nous lie sont clairs. Je me sers de son corps comme d’un objet sexuel, sans tendresse ni égards. Je la baise comme on baise une pute… ou une femme qu’on ne s’attend pas à revoir. Si elle y trouve à redire, elle n’en donne aucun signe, au contraire: le regard qu’elle me jette est fendu, embrumé, et ses paupières se plissent chaque fois que je m’enfonce en elle. Elle fait le choix de m’être entièrement soumise, totalement femelle comme je suis totalement mâle, nous sommes chacun dans notre rôle, libres de nous livrer à nos instincts en ignorant toute la politesse et les conventions auxquels doivent se plier les gens qui vivent ensemble. La salle s’emplit de nos râles. Je me retire de son sexe, elle fait une moue de désapprobation, mais je la guide pour qu’elle se mette à quatre pattes et je pénètre à nouveau son vagin offert. ...
    ... C’est si bon de la baiser comme ça, en levrette comme une petite chienne. Mes mains viennent s’agripper à ses hanches rondes et à sa taille fine et cambrée, et je m’en sers pour pousser en elle toujours plus profondément ma queue énorme. Je ralentis la cadence mais redouble de puissance, la baisant de toute ma force en lui assénant des coups de butoir phénoménaux, sous l’effet desquels elle se cabre et jappe comme une chaudasse. Je fais claquer ma main sur ses fesses pour lui faire sentir que là, maintenant, en cet instant, elle est ma propriété. Elle tourne la tête et l’expression ensorcelée de son visage vaut tous les encouragements. Nous sommes tous deux pantelants, mouillés de sueur, et je sais que si je continue à la baiser à ce rythme, je ne vais pas pouvoir me retenir très longtemps… Alors je me retire, je regarde l’inconnue qui halète. Moi aussi j’ai le souffle lourd. Elle et moi, nous savons ce qui suit. D’ailleurs elle a déjà commencé à agir en conséquence: en me regardant dans les yeux, elle glisse un doigt dans sa chatte dégoulinante, puis dans son anus, qu’elle commence à assouplir en des mouvements circulaires frénétiques. Quand elle insère un second doigt dans son cul, je deviens fou et je me rue contre elle: il faut que je l’encule tout de suite. Je fais tournoyer mon gland autour de l’orifice délicat afin de l’élargir encore un peu, je m’enfonce doucement pour faire entrer la tête violacée de mon sexe, ce qui arrache déjà des couinements à ma partenaire, puis ...
«12»