1. Haut en couleur


    Datte: 10/10/2020, Catégories: fh, couple, amour, massage, Oral préservati, fdanus, fsodo, attache,

    ... l’oreille de sa femme et lui murmura : — Tu vas avoir droit au meilleur massage dont on puisse rêver. Après avoir enduit ses mains d’huile de massage, il les posa sur le corps de Nathalie et, en massant la nuque de sa femme ainsi que ses épaules, il continua à parler : — Je veux que tu ne penses à rien, que tu te laisses porter, sens la chaleur de mes mains se diffuser en toi, imagine-toi entourée de couleurs, flottant au milieu d’un arc-en-ciel, sens cette lumière rouge sourdre de mes mains et atteindre ton corps, sens-la t’envahir doucement, mais inexorablement ; cette douce lumière se propage depuis tes épaules, elle se transforme en chaleur…elle remonte le long de tes bras… En même temps, Jacques joignait le geste à la parole, et de ses doigts il effleura la peau des bras de Nathalie jusqu’à la saignée du coude , puis l’avant-bras, enfin la main. Mais il ne s’arrêta pas là et il reprit : — Cette chaleur remonte le long de ta nuque… Cette fois-ci, il embrassa voluptueusement le cou de son épouse. Il huma le parfum délicieux des longs cheveux de Nathalie. Ses mains allaient et venaient le long des bras et du cou, les parcourant comme un territoire conquis, mais qu’il fallait soutenir et entretenir. — Sens à présent toute cette énergie rouge descendre peu à peu, atteindre ta gorge, tes seins… Jacques était à moitié allongé sur sa femme. Ses mains contournèrent le corps alangui et, s’immisçant entre les draps et la chair, elles atteignirent la poitrine de Nathalie. Il la ...
    ... caressa lentement et doucement, puis reprit son massage du dos. De temps à autre il remettait de l’huile sur ses mains ; afin de ne pas faire sentir à son épouse cette sensation de fraîcheur, il ne l’appliquait jamais directement sur sa peau, mais prenait soin de la chauffer au creux de ses paumes. Nathalie était au paradis ! Transportée par toutes les couleurs qu’il lui avait dit d’imaginer, elle se laissait aller complètement, et les caresses que lui procurait son mari la faisaient chavirer : son souffle chaud dans sa nuque, sa voix grave…elle se sentait emportée dans une autre dimension. — Sens la chaleur t’envahir le ventre, tournoyer et se répandre en toi, sens-la au creux de tes reins ! À chaque parole Jacques joignait le geste, et ses mains, à présent, parcouraient les reins de Nathalie ; il frôla la naissance des fesses et la sentit se contracter, mais il ne souhaitait pas prendre de suite ce qui venait de lui être promis. Il la rassura à ce sujet et continua son manège. Il écarta un peu les jambes de sa femme, mais ne s’attarda pourtant ni sur son sexe ni sur ses fesses ; il ne fit qu’y passer et, tout comme il l’avait pour les autres parties du corps, glissa ses doigts dessus, les caressant et les massant un peu, rien de plus. Déjà il avait senti que l’énergie rouge avait gagné le foyer de leurs pensées… — Maintenant tes cuisses sont envahies à leur tour. Et les mains de Jacques caressèrent les cuisses en s’attardant sur l’intérieur. Puis, suivant toujours le même ...