1. Ma nouvelle collègue


    Datte: 11/10/2020, Catégories: fh, ff, ffh, fplusag, grosseins, Collègues / Travail fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, fouetfesse, fsoumisaf,

    ... longtemps finalement. Ils sont soit en visite soit en train de préparer de la paperasse avec des clients. Je n’aurai jamais imaginé qu’il y avait autant de papiers, documents dans ce type de travail, d’ailleurs c’est moi qui m’occupe de la tâche ingrate du rangement, classement et autres de toute cette paperasse. Je les connais peu encore bien sûr mais j’ai bien été accueillie. Je discute plus avec les autres filles, surtout deux, on a toujours plus d’affinité entre femmes. Tiens, voilà Catherine qui rentre, je ne peux m’empêcher d’examiner sa poitrine depuis les réflexions que j’ai entendues depuis mon arrivée. — Bonjour, excuse-moi mais après les retours de vacances j’ai toujours du mal à recoller les morceaux, j’ai oublié ton prénom ? On m’a annoncé ton arrivée mais…— Muriel, comme Robin.— Robin ? Robin des bois ?— Non… Muriel Robin. Elle me regarde avec un air qui montre qu’elle ne saisit pas puis soudain quelqu’un doit allumer la lumière dans sa tête car elle dit : — Ah oui, l’actrice ou quelque chose comme ça.— Oui la comique… C’est ça. Et c’est Catherine, je ne me trompe pas ?— C’est bien ça, tu as meilleure mémoire que moi ! Elle part dans un rire que je trouve un peu niais et qui lui soulève la poitrine. Je vois que mes autres collègues ne m’ont pas menti. Pendant les deux semaines passées, j’en ai entendu certains parler de « miss décolleté » régulièrement et devant mes interrogations elles m’ont dit qu’elle était en vacances mais que je comprendrais quand je la ...
    ... verrais. En effet, Catherine arbore un chemisier bien ouvert sur une somptueuse poitrine. Nul besoin d’avoir des yeux aiguisés pour voir à quel point ses seins sont rebondis, la naissance forme deux ballons gonflés entre les pans du chemisier. Mes yeux quittent le décolleté, je suis consciente que mon regard s’est attardé plus que la politesse ne le demande et je suis un peu confuse de mon comportement. Elle semble n’avoir rien remarqué et me sourit avec un air un peu innocent. C’est un peu méchant ce que je dis mais c’est la première impression que j’ai. Après le coup sur Muriel Robin, son rire, bref elle ne me semble pas des plus fines. Il me revient aussi en mémoire la conversation de vendredi passé avec Lisa et Marianne, mes deux copines de l’agence. Selon elles, elle devait sa place plus à sa poitrine qu’à autre chose. J’avais été un peu choquée, pas habituée aux ragots sur des collègues, mais ce premier contact me rappelle ces conversations malgré moi. Nous discutons encore cinq minutes puis elle me quitte en me lançant un « À tout à l’heure ». Je la suis du regard, c’est donc cela la fameuse Catherine. Je vois qu’elle est perchée sur des hauts talons qui lui font dandiner des fesses à n’en plus finir. Fesses que son pantalon moule suffisamment pour m’en donner une vision assez précise. La garce n’a pas seulement une paire de seins qui n’ont rien à envier aux stars siliconées, ils le sont peut-être d’ailleurs ? Mais aussi un sacré postérieur. Son fessier est cambré à ...
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