Il adore les enfants
Datte: 11/10/2020,
Catégories:
fh,
cadeau,
cocus,
vacances,
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
... perdu de temps. Elle le pompe comme elle sait le faire avec gourmandise. Et puis elle vient le chevaucher. Elle sait que c’est lui. Elle se donne du plaisir. Elle s’enfile sur le mandrin de son amant. Pourtant elle ne gémit pas comme avec moi. Si son corps cherche le plaisir et j’imagine se faire féconder, son esprit la retient. Me savoir juste à côté, sous la douche dont l’eau qui coule fait un bruit de fond dans la chambre, doit la retenir. Pourtant lorsque son amant éjacule dans la matrice et qu’elle-même jouit, c’est une femme comblée qui se mord les lèvres. La retenue ne dure pas. Il fait beau. Le chalet est agréable. La montagne est à notre portée. Petit à petit, chaque heure, chaque jour, chaque accouplement renforce notre complicité. Ce n’est pas un couple avec un partenaire, mais un trio entièrement centré sur un but qui se cache maintenant derrière le « comment » et nous oublions le « pourquoi ». Sans le savoir, j’ai recréé, à notre échelle, le cheminement de la vie. La sensualité, animale ou humaine, qui fait qu’une femme que j’ai libérée des contraintes de la civilisation en lui proposant ce scénario se doit de montrer pour séduire un mâle. Maeva se prend au jeu. Chacun de ses gestes, de ses mouvements, prend une tournure érotique. Et elle trouve deux spectateurs plus que « bon public ». Là aussi, la nature fait son œuvre. Nous les hommes devenons des complices, mais aussi des rivaux. Même si chaque fois que nous sommes seuls, Maeva et moi, mon épouse ne cesse ...
... de me dire qu’elle m’aime et qu’elle apprécie mon sacrifice, je ne peux m’empêcher de me sentir en compétition avec Rémy. Une compétition qui apporte à notre partenaire un plaisir qu’elle ne cache plus. Pas un coin de la maison, de la cuisine au jacuzzi, qui ne soit le lieu de nos échanges. Même pendant nos marches en montagne la nature parle. Voir Maeva, appuyée a un arbre, en appui sur un rocher alors que Rémy la possède avec le spectacle grandiose des Alpes est un bonheur. J’espère que c’est dans un moment pareil que la nature fait son travail au plus intime de ma femme. Mais qui peut croire que le principe de base soit encore respecté. Au début, bien entendu, Maeva pouvait avoir un doute sur celui qui… Mais la spontanéité de nos baises a rendu ce principe dépassé. Et un principe, dans ces conditions, est fait pour être oublié. C’est la veille de notre départ que j’ai décidé de rompre le contrat. Un contrat bafoué si souvent qu’il en était devenu risible. Nous sommes dans le jacuzzi. Maeva profite des bulles pour se relaxer. Rémy et moi sommes assis sur le bord et si le corps de Maeva est caché par le bain bouillonnant, nous en connaissons tous les secrets. Rémy est comme moi, il bande. Maeva ne peut ignorer cette offrande. Elle nous voit. Elle nous regarde. Son regard est rieur, son sourire pervers. Je lui tends le bandeau. Ce morceau de tissu si symbolique, mais qui ne cache plus rien. Elle le met elle-même. Elle avance vers nous et c’est Rémy qui en reçoit l’hommage. ...