Snowballs - Histoires de Sexe

Snowballs

... faire l’amour avec un tel géant. La différence de taille devait rendre l’exercice intéressant. Elle rougit. Pourquoi pensait-elle à ça ? Elle le connaissait à peine ! Il s’agenouilla devant le foyer, pour la déposer sur le sol, mais elle s’accrocha à son cou. Elle claquait des dents. — Reste… contre moi… balbutia-t-elle.— Tu es trempée et glacée, répondit-il. Il te faut des vêtements secs. Elle hocha la tête, et leva les bras pour qu’il la déshabille. Elle le vit rougir un peu, détourner les yeux, mais de ses mains immenses, il entreprit de défaire les premiers boutons de la chemise qu’elle portait et la passa au-dessus de sa tête. Elle frissonna et sa poitrine se souleva au rythme saccadé de sa respiration. Elle vit comme il la regardait. Elle sentit son corps réagir à ce qu’elle lisait dans ses yeux. Alors elle refoula ses principes, sa timidité et ses restrictions, et glissant une main dans ses cheveux pour l’attirer à elle, elle murmura : — Ben… Réchauffe-moi. Il eut un mouvement de recul, un frémissement des lèvres, puis hésitant, avec beaucoup de douceur comme pour lui laisser le temps de le repousser, il posa la bouche sous son oreille. Son souffle était brûlant ; Jordan tressaillit. Les lèvres de Ben glissèrent sur son cou, jusqu’à la base de sa gorge, où il déposa un baiser. C’était humide, et chaud. Le picotement de sa moustache épiçait ses caresses. Il s’enhardit, embrassant, du bout des lèvres, avec la pointe de la langue, ses clavicules, le renflement de ses ...

... seins, la vallée de sa poitrine, la dentelle du soutien-gorge… le téton, à travers le tissu. Jordan soupira, la bouche entrouverte. Elle serra les doigts dans les cheveux de Ben, puis à gestes maladroits, fit sauter la toque de fourrure qu’il portait, et entreprit de lui retirer son manteau, trop épais et trop humide. Il portait des gants ! Elle arracha les gants. Elle était presque nue dans ses bras et lui portait tous ces vêtements, il était urgent de rétablir l’équilibre ! La bouche de Ben pinça son téton à travers le soutien-gorge, et ses mains remontèrent dans son dos pour le dégrafer. Lorsque l’agrafe cliqua dans ses doigts, il leva les yeux vers elle, cherchant son approbation. Elle se mordit la lèvre et acquiesça, d’un geste du menton. Elle était d’accord ; elle voulait qu’il le fasse. Alors il fit glisser les bretelles du soutien-gorge le long des bras de la jeune fille et le laissa tomber au sol. Il la tenait, seins nus, contre lui. Elle avait de petits seins, des tétons roses pointant dans sa direction, et il en prit un dans sa bouche, les yeux clos, le nez plein du parfum de sa peau. Il sentait son érection se dresser dans son jean, pousser contre sa braguette, réclamer la liberté. Mais il n’était pas certain que Jordan veuille aller jusque-là. Il attendrait. D’ici là, elle frissonnait dans ses bras, et il était urgent de la réchauffer. Caressant le satin de sa peau, comptant des grains de beauté du bout de sa langue, il descendit les mains sur ses hanches, glissa les ...