1. Cendrillon X (2)


    Datte: 12/10/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    Chapitre 2 Après ce tragique accident, dont Sophie ne parla jamais à son père, celui-ci se remaria avec une femme méchante. Que cette pauvre jeune fille était triste en songeant à la vie qu’elle menait au temps où elle était gâtée et heureuse ! Car maintenant, tout était différent. Sa belle-mère n’hésitait déjà pas à la brimer du vivant de son père, attendant qu’il ait le dos tourné pour la faire trébucher ou, quand le maître de maison s’absentait, pour la fesser à la moindre occasion, lui demandant d’ôter ses belles robes et ses jupons…. Mais quand Sophie atteignit l’âge où une jeune fille était considérée comme une femme, les brimades s’intensifièrent. Sa belle-mère, qui avait également fini par avoir accès à la salle où la mère de la jeune fille avait trouvé la mort, ne fermait pas la porte. Aussi Sophie était-elle témoin des cris de jouissance que cette sorcière poussait toutes les nuits jusqu’à une heure avancée. Et du peu de plaisir que son père prenait. Du moins si la nuit funeste qu’elle avait vécue plusieurs années auparavant était le reflet exact du plaisir qu’il pouvait atteindre avec une femme. Un soir où Sophie avait été plus curieuse qu’un autre, elle s’avança jusqu’à la porte en bois rugueux et y trouva… ses deux belles-sœurs. Celles-ci étaient en train de se caresser en épiant, par l’entrebâillement de la porte, les ébats sexuels de leur mère avec leur beau-père. Et leurs commentaires la laissèrent sans voix. « Regarde comme elle le prend bien au fond. — ...
    ... Comme mère est courageuse de se faire prendre par un tel pieux ! — Je ne pourrais jamais ! — Mère nous dit pourtant de nous préparer car nous ne savons pas sur quel mari nous pourrions tomber. Et notre devoir de maîtresse de maison étant de combler tous les désirs de notre mari, nous devons nous tenir prêtes pour une telle situation ! — Comme mère a été avisée de nous commander ces godemichets. Nous en avons de toutes les tailles. Regarde celui-là. » Sophie vit alors une de ses belles-sœurs prendre un objet par terre et se mettre à le sucer en regardant sa sœur. « Mon Dieu, il est presque aussi gros que le chibre notre beau-père. Pense à bien le sucer pour le lubrifier. Il ne faut surtout pas te déchirer. — Tu sais comment me préparer chère sœur… — Pas ici, je vais me casser les genoux à lécher ton joli minou. Je préfère que nous retournions dans la chambre. — Attends, je regarde une dernière fois comment maman s’y prend. — Je me dis que j’aimerais parfois être à sa place. — Pour te faire prendre par notre beau-père ? — Oui, tu as vu ce sexe ? Tu as vu la manière dont il s’en sert ?! » Un cri interrompit les deux sœurs qui se retournèrent d’un bond. Au loin la porte menant au couloir se referma en un claquement sec. « Qu’était-ce ma mie ? N’avez-vous pas fermé la porte ? — Si bien sûr mon ami. Enfin, me pensez-vous donc si imprudente ? Continuez mon beau, continuez à m’empaler de votre large chibre ! Mon corps est votre temple. Je suis votre soumise… soumettez-moi, pilonnez-moi, ...
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