Un étrange journal intime
Datte: 12/10/2020,
Catégories:
ffh,
nympho,
hsoumis,
contrainte,
noculotte,
Oral
pénétratio,
hsodo,
journal,
fantastiq,
... ces deux connes infernales (car oui, elles ont quelque chose à voir avec les enfers) et je me mis en colère : — Mais vous me voulez quoi à la fin ? Vous me faites chier avec vos conneries. Vous n’avez qu’à me tuer, je vous emmerde, j’en ai plein le cul de votre jeu, je ne joue plus, hurlai-je. Je m’apprêtais à récupérer mes affaires pour me rhabiller et quitter cette prison quand la voix de Sophia pénétra une nouvelle fois mon esprit : « Pour qui te prends-tu, vulgaire insecte ? Les ordres, tu vas les exécuter, et tout de suite ! »« Va te faire foutre ! » Lui répondis-je en utilisant aussi la télépathie. J’étais sur le point de sortir du salon pour me diriger vers la porte d’entrée quand Sophia bondit sur moi. Elle ne devait pas peser plus de cinquante-cinq kilos et pourtant elle réussit à me mettre à terre (moi qui en pèse plus de quatre-vingts !). J’essayai de me relever, mais impossible d’arriver à la désarçonner. J’avais l’impression qu’un catcheur m’était tombé dessus. Évidemment ses yeux étaient à nouveau noirs comme la mort et il me sembla même voir des dents acérées dans sa bouche. J’étais effrayé par le côté paranormal de la situation qui faisait à nouveau surface, vexé de me faire lyncher par une fille et, humilié quand elles m’attachèrent les poignets aux pieds de la table basse du salon. Elles me punirent en me sodomisant avec leur gigantesque gode et me sucèrent à tour de rôle. J’ai dû jouir trois ou quatre fois dans leur bouche et une fois du cul (ce qui m’a ...
... laissé un profond sentiment de honte !) Étrangement, elles me laissèrent libre ce soir-là dans ma chambre, sans m’attacher au lit. Une fois qu’elles furent endormies (du moins je l’espérais), je pris le cahier sous le lit et me mis à raconter cet étrange épisode de la fin de ma vie. Car oui, je pense que mes jours sont comptés. Je ne vois pas comment je pourrais m’en sortir. Le lendemain (mercredi), j’étais libre, enfin libre est un mot assez relatif. Disons que je n’étais pas attaché à ce putain de lit et que je pouvais coucher dans ce cahier ce qui m’était arrivé. Je me mis donc à la tâche, alternant entre écriture et hurlements, espérant que quelqu’un m’entende. Mais en tant que mélomane qui aime que la musique soit forte, j’avais constaté que les murs de la chambre étaient insonorisés. Je m’époumonais donc en vain une partie de la journée tout en écrivant quand mes ravisseuses rentrèrent. Je dissimulai le cahier et fis semblant de dormir quand elles décidèrent de me rendre visite. Le tarif n’avait pas changé ! Elles s’assirent sur mon visage l’une après l’autre et je dus lécher leur entrejambe jusqu’à ce qu’elles atteignent le septième ciel. Cela ne m’excitait même plus ! Elles m’avaient tellement fait mal la vieille avec leur godemiché que je n’avais qu’une seule envie : les étrangler jusqu’à ce que leurs yeux jaillissent de leurs orbites. Pas de changement pour la suite ! Un repas de merde ! Après les pates et la pizza, voilà les cordons bleus, avec des pommes de terre en ...