1. Un étrange journal intime


    Datte: 12/10/2020, Catégories: ffh, nympho, hsoumis, contrainte, noculotte, Oral pénétratio, hsodo, journal, fantastiq,

    ... journée. J’aurais pu essayer de casser un carreau dans le salon mais n’avais jamais osé par peur de ce qu’elles m’auraient fait subir, étant donné que je n’étais à cet endroit qu’en leur présence. Je pourrais sauter par la fenêtre, me dis-je. On est au troisième étage, mais à choisir, je préfère finir écrasé sur le trottoir que bouffé par ces deux harpies. Le lendemain (le jeudi), elles ne vinrent pas me voir et je restai jusqu’au soir à me demander s’il ne serait pas mieux de mettre fin à mes jours. Je pourrais effectivement traverser la fenêtre de la cuisine et aller m’écraser une dizaine de mètres plus bas. Le temps qu’elles réagissent, mon corps entamerait déjà sa chute libre. Mais le soir je ne les vis pas. Je souhaitais qu’elles aient eu un accident. Écrasées par un poids-lourd, voilà ce qui m’aurait plu. Je souriais à cette pensée quand quelqu’un ouvrit la porte de ma chambre. C’était Sophia qui portait juste une paire de bas résille et un T-shirt blanc. Je m’attendais à ce qu’elle vienne coller son sexe sur mes lèvres. J’étais décidé à la mordre jusqu’au sang pour voir ce qu’il se passerait. Mais mes espoirs furent brisés quand elle me proposa de venir me restaurer. C’était peut-être le moment de me jeter par la fenêtre. Arrivé dans la cuisine je me mis d’abord à manger. Le dernier repas du condamné, me fis-je comme réflexion, avant d’avaler un plat de pâtes (encore des pâtes), trop cuites. J’essayais de trouver le moment opportun pour me lever et me ruer vers la ...
    ... fenêtre quand la voix caverneuse de Sophia fit encore irruption dans ma tête : « Tu ne crois pas que tu vas t’en tirer aussi facilement. Même ta mort, c’est nous qui décidons quand elle aura lieu. Tu n’as aucun droit et encore moins de pouvoir ici. Tu es notre chose. Mais plus pour longtemps. » — Vous n’avez qu’à me buter tout de suite, réclamai-je à voix haute. De toute façon, vous ne tirerez plus rien de moi. Les deux partirent alors d’un rire gras et hideux qui me donne encore la chair de poule au moment où j’écris ces lignes. Ce fut Vanessa qui continua de parler : — Ce n’est pas aujourd’hui que tu vas crever. Sois patient. Mais tu peux être certain que dimanche sera ton dernier jour : le jour du seigneur comme certains d’entre vous l’appellent. Quelle triste ironie, tu ne trouves pas ?— Je n’en ai plus rien à foutre. Ce sera une délivrance. Elles ne répondirent rien et se contentèrent de se regarder en se souriant avant d’approcher leur tête pour s’embrasser à pleine bouche. Une fois le baiser consommé, elles se levèrent, me saisirent chacune par une épaule et, me conduisirent manu militari dans ma chambre. Elles avaient une force incroyable et je me retrouvai dans le lit (sans y être sanglé), presque sans toucher terre. Quand elles sortirent en refermant la lourde porte en chêne, je me sentais presque bien. Je n’avais pas à subir de sévices sexuels. J’attendais la mort avec impatience. Pourtant, avant de mourir, il fallait que je finisse de raconter cette histoire. Il ...