1. Solange, aventure avec mon chef


    Datte: 12/10/2020, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail grosseins, fépilée, Oral pénétratio, fsodo,

    ... sur le lit, dont il a remonté la têtière, les deux mains sous la tête, pour mieux me voir lui avaler son engin. Je suis repliée, à genoux entre ses jambes largement écartées, et je commence un lent massage de la verge assoupie. Rapidement, sous les mouvements de va-et-vient de ma main, elle se redresse, s’érige au milieu du buisson blond qui orne l’entrejambe de mon amant. Lorsqu’elle commence à sortir de la flaccidité où nos exercices précédents l’avaient plongée, je prends en bouche le gland que je fais émerger de son manteau de chair. Lentement, je le suçote, l’absorbe jusqu’à la lisière des replis du prépuce, tout en continuant de faire aller et venir ma main fermée sur toute la longueur de la verge qui reprend vigueur. J’enfourne enfin tout le membre qui maintenant affiche une belle raideur et se tient droit, émergeant enfin des poils blonds de mon partenaire. Sans être exceptionnel son membre me semble devoir mériter toute mon attention, aussi je l’absorbe en entier, mes lèvres dans leur mouvement gourmand viennent buter sur le pelvis couvert d’une toison frisottante, tandis que le gland heurte ma luette. Je bave, je salive sur le membre qui commence à luire sous les mouvements lents de ma tête. Gabriel, appuyé sur le lit qui le redresse à demi observe mon action. Petit à petit, je le conduis au bord de l’explosion, mais à chaque fois que je le sens près de m’exploser entre les lèvres, je ralentis mon action, pour faire durer encore le plaisir que je lui donne, mais ...
    ... celui aussi que je retire de cette fellation. J’aime sucer ces beaux membres masculins, mais pendant que je m’exécute, il arrive un moment où je ne veux plus que mon partenaire reste à ne rien faire. Il faut qu’il s’occupe aussi de moi. Aussi j’arrête ma fellation et j’interpelle mon amant d’un soir. — Dis Gabriel, au lieu de me regarder, tu pourrais peut-être me brouter le minou ?— Je ne sais pas ! C’est pas vraiment ce que je préfère, mettre mon nez et ma langue dans des poils ! Et puis, je ne suis pas une lesbienne. Là, j’ai comme un coup de sang, je bondis sur mes pieds, et j’apostrophe ce con qui au bureau fait preuve d’un esprit tatillon, et ne manque aucune occasion de stigmatiser nos erreurs, ou notre manque d’attention : — Gabriel, il y a des moments où vous dites des conneries. Je crois que l’on va en rester là. Vous vous rhabillez, vous m’oubliez avec vos désirs inassouvis, et vous allez rejoindre votre femme. Il a à la fois l’air surpris par ma diatribe, et un brin amusé par mon attitude. C’est vrai qu’avec ma colère, sincère, mes poings posés sur mes hanches et ma nudité provocante, il ne doit plus savoir où il est. — Eh ben dites donc, vous pouvez m’expliquer ce qui se passe ?— Il y a que ça fait une bonne heure que vous me pelotez sur toutes les coutures, vous m’avez pénétrée, je vous suce depuis un moment, et vous n’avez même pas remarquée que je suis totalement épilée. Je croyais pourtant que c’était cela qui vous avait surpris sous la douche.— Quoi ! C’est pour ...
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