Collègues et voyages
Datte: 14/10/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
rousseurs,
couple,
extracon,
Collègues / Travail
hotel,
hdomine,
noculotte,
facial,
Oral
fgode,
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pénétratio,
fdanus,
fsodo,
totalsexe,
... malgré tout à insister après cette fin de non-recevoir. Mais elle n’est pas du genre à se laisser décourager et veut voir jusqu’où elle peut aller : — … Je comprends que vous ne vouliez pas raconter ce genre de choses. Plus d’un n’aurait pas ce genre de discrétion et de délicatesse, trop content de se vanter. C’est tout à votre honneur… Mais j’y pense : au lieu de raconter, vous pouvez me montrer. Bernard n’en croit pas ses oreilles, cette jeune femme qui doit n’avoir fêté ses vingt ans que depuis peu vient de lui faire, s’il n’interprète pas ses paroles mal à propos, des avances. Il la regarde. Elle est assez jolie, grande, pas loin du mètre quatre-vingts, des yeux verts dans visage ovale, un petit nez en trompette, des taches de rousseur, des cheveux roux en chignon, des jambes ravissantes, une poitrine plutôt menue et des fesses aux arrondis prometteurs. Bernard que son manque travaille, se dit que puisque la donzelle est volontaire, ce sera mieux que de souffrir pendant encore des jours et de risquer de malencontreux rapprochements avec des femmes qui n’en ont pas le désir. Bien sûr, elle se retrouvera en cloque, mais bon… Il lui prend la main et ressent instantanément le picotement qu’il connaît maintenant si bien. — Je vois que vous êtes curieuse et avide d’approfondir vos connaissances. Au moment où il la touche, Lucie allait se sauver, effrayée par sa propre audace. À dire vrai, elle est presque aussi étonnée que lui de ses propos. Elle n’aurait jamais cru qu’un ...
... jour elle puisse en tenir de tels. Elle s’est laissé entraîner par sa curiosité et sa langue. Elle rougit. Elle est arrêtée net dans son élan. Sa propre audace a refermé la nasse sur elle. D’avoir les jours précédents entendu Anne proclamer son plaisir et de l’avoir vue repue, l’ont échauffée et ce d’autant plus qu’avec son copain, ils se sont disputés. Il est même parti depuis plus d’une semaine, pris d’un brusque amour filial, rendre visite à ses parents. Comme personne ne veut céder et faire le premier pas, la situation s’éternise. Il faut avouer que tout cela l’avait mis dans des dispositions propices à sa curiosité. Bernard défait son chignon, ses cheveux coulent en cascades presque jusqu’à ses reins. Il entreprend de déboutonner son uniforme. Lucie, presque à sa propre surprise, trouve qu’il traîne trop. Elle accélère l’opération et sur sa lancée envoie chaussure, slip et soutien-gorge le rejoindre sur la moquette. Elle s’attaque ensuite aux vêtements de Bernard, qui doit tempérer son ardeur, pour éviter que ses habits ne souffrent trop. Pendant les douze heures suivantes, elle a la réponse à sa question. Elle découvre de nouvelles positions, parfois un peu acrobatiques, mais bien plaisantes. Elle avale plus de foutre que ce qu’elle avait avalé jusqu’à ce jour, car elle n’aimait guère la chose et préférait se faire juter dans les mains ou les seins, à la rigueur sur le visage. Elle accepte l’inauguration de son petit trou, ce à quoi le copain et les deux trois autres ...