1. Collègues et voyages


    Datte: 14/10/2020, Catégories: fh, hplusag, rousseurs, couple, extracon, Collègues / Travail hotel, hdomine, noculotte, facial, Oral fgode, fist, pénétratio, fdanus, fsodo, totalsexe,

    ... cette haridelle rousse.— D’abord ce n’est pas moi qui l’ai draguée et avoue que tu es plutôt mal placée pour jouer les possessives. C’est gonflé de la part de quelqu’un dont le mari est à des milliers de kilomètres et qui depuis une semaine se fait tringler toutes les nuits par un collègue qui la soupçonne fort d’avoir planifié ce voyage dans un but pas seulement professionnel.— Que j’ai planifié ?— Allez, sois honnête.— Euh… Eh bien… C’est à moitié vrai. Au début, je n’y avais pas pensé, mais quand Valériane m’a parlé du coût avec l’équipe que je prévoyais, j’ai réfléchi à ce que tu m’avais dit sur les déplacements avec des équipes plus restreintes et c’est en pensant à équipe restreinte que m’est venue l’idée que le séjour canadien avec toi serait plus… attrayant.— Et l’est-il ?— Oh oui !— Alors c’est fini, cette humeur maussade ?— Oui. Et pour le lui prouver, elle l’embrasse et l’entraîne dans sa chambre. Elle ne tient pas à baiser dans les mêmes draps que la rouquine. Madame peut constater que la nuit n’a aucunement consumé la vigueur de son amant. Sur le coup de 13 h, il propose d’aller se sustenter. D’en entendre parler, Anne se rend compte qu’elle meurt de faim. Cela fait au moins vingt-quatre heures qu’elle n’a rien mangé. Elle accepte donc avec enthousiasme. En passant devant la réception pour se rendre au restaurant, elle ne peut s’empêcher de jeter un coup d’œil venimeux à Lucie. Cette dernière est arrivée en courant à son poste. Son amie Martine l’y attend. ...
    ... Elle lui laisse le temps de reprendre son souffle : — Bonjour, Martine, as-tu passé une bonne nuit ?— Oui, et toi ?— Moi aussi.— Pourtant tu as les yeux cernés.— Ah ?— Oui, je ne doute pas que tu as passé une bonne nuit, mais pas à dormir. Tu as la même tête que la Française. Mêmes causes, mêmes effets. Tu aurais dû te montrer plus discrète. Tout le monde en parle. Annie t’a vue entrer dans la chambre du français et peu après elle t’a entendue. Alors, raconte-moi comment c’était ? Aussi bien qu’on le suppose ? Lucie pique un fard et bredouille : — Tout le monde le sait ?— Ben oui. Annie était trop contente de pouvoir cancaner et tu te doutes que c’est le genre de chose qui se répand très vite. Ce n’est pas un drame, la semaine prochaine on en parlera plus. Bon alors, dis-moi tout. Tu sais que moi je ne le répéterai pas… Lucie est tiraillée entre la gêne et l’envie de partager ce qu’elle a vécu avec son amie. Elle se mord les lèvres, se dandine. — Allez ne te fais pas prier.— Waouh.— À ce point-là ?— Oh oui et plus encore. C’est une bête. Pendant toute la nuit, j’ai pris mon pied, je ne pensais plus qu’à ça. Avec lui j’ai fait des trucs… J’aurais pas cru.— Quel genre de trucs ?— …— Allez, moi je te raconte à chaque fois, il y a trois jours encore avec le vendeur de chez Huguette Fecteau.— Eh bien. Là je l’ai sucé…— Ça n’a rien d’extraordinaire.— Oui, mais j’ai avalé et pourtant tu sais que j’aimais pas trop. Et pas qu’un peu, parce que ce mec, il en crache. On a baisé assis, ...
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