Collègues et voyages
Datte: 14/10/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
rousseurs,
couple,
extracon,
Collègues / Travail
hotel,
hdomine,
noculotte,
facial,
Oral
fgode,
fist,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
totalsexe,
... protestations et s’endort rapidement. Il regagne sa chambre pour étudier un peu les dossiers en cours. Il faut bien que quelqu’un fasse montre d’un peu de sérieux. Hélas, il ne va pas pouvoir l’être très longtemps. Lucie s’apprête à rentrer chez elle son service terminé. Elle ne travaille à l’hôtel que la fin de semaine pour payer ses études. Demain, elle a cours à la faculté. Martine lui souffle d’aller récupérer sa culotte, car Lucie est scout et nombre de ses vêtements sont marqués à son nom, dont tous ses sous-vêtements, et qu’en ce cas, il faut mieux ne pas laisser trop traîner ce genre de vêtement. Lucie hésite. D’un côté, elle se dit qu’effectivement ce serait mieux de repartir avec cette lingerie, car si les femmes de chambre la trouvent, ça va jaser. Elle a un peu oublié que ça jase déjà beaucoup. De l’autre, elle se sent gênée de se retrouver en face de Bernard. Elle finit par suivre le conseil de son amie. Ce qui la décide,in fine, c’est qu’en plus de reprendre son bien, même si elle se sent gênée, elle est aussi attirée par Bernard. Elle garde un souvenir ému de la dernière nuit. Elle monte donc accompagnée de Martine. Elles écoutent aux portes et n’entendent rien. Elles pensent que si les deux Français étaient ensemble, des bruits révélateurs se feraient entendre. Mais probablement l’homme doit être fatigué. Il dort même, peut-être. Il faut essayer. Au pire s’il n’est pas dans chambre, elles pourront chercher la culotte compromettante et peut-être même s’il ...
... dort. Tandis que Martine se met en retrait. Lucie frappe à la porte. Elle est invitée à entrer. Elle hésite. Son amie la pousse presque. Elle entre. Bernard est surpris de la revoir. — Bonjour Lucie.— Bonjour Monsieur.— Qu’y a-t-il ?— J’aimerais récupérer ma culotte, si vous voulez bien.— Bien sûr, pas de problème. Je ne suis pas fétichiste. Ne crois-tu pas que tu peux m’appeler Bernard et me tutoyer. Il se lève et farfouille dans ses affaires. — Ah ! La voilà. Tiens. Il faut rendre à ce César ce qui est à César.— Merci. Lucie la prend et en fait une boule qu’elle malaxe dans ses mains. Elle semble plongée dans un profond embarras. Elle se mordille la lèvre inférieure qui en est le signe chez elle. Elle se décide enfin : — À propos de rendre à César… euh… j’ai moi aussi quelque chose à vous… euh… à toi. Je vais te le rendre.— Ce n’est pas la peine.— Si, j’insiste.— En ce cas, merci. Il tend la main, mais au lieu de lui donner l’objet attendu, Lucie se tourne : — Prends-le. Bernard, qui ne s’y attendait pas, est un moment décontenancé. Puis il comprend : la donzelle a encore le plug dans le cul. — Tu l’as gardé toute la journée ? Il soulève sa jupe, elle se penche en avant en s’accoudant sur la table et écartant les jambes : — Ben oui. Je ne voulais pas le laisser traîner. Bernard est un peu dubitatif. Il serait surprenant qu’il n’y ait aucun endroit où un membre du personnel ne puisse mettre à l’abri loin des regards curieux des objets personnels. Il garde ses réflexions pour lui ...