1. Collègues et voyages


    Datte: 14/10/2020, Catégories: fh, hplusag, rousseurs, couple, extracon, Collègues / Travail hotel, hdomine, noculotte, facial, Oral fgode, fist, pénétratio, fdanus, fsodo, totalsexe,

    ... beaucoup qui ne l’ait pas baisée. En plus elle est douée et a un sacré coup de reins ». Un autre a précisé : « si on l’appelle tapis-brosse, ce n’est pas à cause de ses cheveux courts ». Et mon copain de renchérir : « On l’appelle aussi tapis de bain, car elle éponge bien ». Viens, je vais te présenter et il m’entraîne vers toi et cette nuit-là fut la première que j’ai passée avec toi.— Tu ne m’avais jamais raconté, et malgré ça tu m’as épousée ?— Pourquoi ? Je n’aurais pas dû ? Tu le regrettes ?— Oh non !— Eh bien, moi non plus. Tu aurais été un garçon, tous auraient trouvé normale ta conduite, mais comme tu étais une fille, ça faisait jaser.— Je ne me faisais pas d’illusion, je savais que ça bavait dans mon dos, mais je m’en foutais, tout au moins jusqu’à ce que je te rencontre et que je me rende compte que je tenais à toi et là je ne m’en suis plus foutue. Je vais te faire un aveu, je me suis même alors sentie très mal, j’avais peur, peur du qu’en-dira-t-on, peur de que ce qu’on allait te dire sur moi te fasse fuir, peur de te perdre. Et qu’est-ce qu’on t’a dit, quand tu as annoncé notre mariage ?— Ce n’a plus d’importance.— Si ça en a !— Certains m’ont dit que j’avais du courage ou du mérite, d’autres que j’étais cinglé et quasi tous de me répéter de bien réfléchir avant de me marier avec une pouffiasse de première, qu’il n’y avait que le bus qui ne lui soit pas passé dessus, qu’avec une saute-au-paf insatiable, j’y laisserais ma santé et que je serais cocu… etc.— Et ...
    ... malgré tout ça, tu as persisté. Tu sais à ce moment, j’aurais tant voulu avoir été différente, j’aurais voulu être une autre, sans passé.— Mais je t’aime comme tu es. En discutant avec toi, j’ai vu quelqu’un d’autre que la fille à la réputation sulfureuse. Quelqu’un de sensible, de fragile qui se dissimulait derrière une sorte de masque et qui s’étourdissait dans des passades pour ne pas penser à l’avenir et ne plus penser au passé. Tout ça est loin… En l’entendant, Valériane éclate en sanglots en repensant à sa nuit avec Bernard. Son mari la prend dans ses bras et la câline. Elle se laisse aller un moment, puis s’écarte de lui brusquement. Il la regarde surprise. Les sanglots se calment, mais les larmes continuent de couler : — Tu… tu aurais dû les écouter ! Je ne suis pas digne de toi !— Calme-toi. C’est du passé.— Non, ce n’est pas du passé ! Je t’ai trahi. Elle lui explique alors sa nuit passée avec Bernard et Anne. Depuis comment elle n’a pas pu résister à son désir de baiser avec lui, jusqu’à la veille et sa rencontre avec Marion, la femme de celui-ci, en passant par la séance dans la boutique pour les piercings. Son mari l’écoute; sidéré. Il se reprend et face à cet aveu, ne veut pas condamner la femme qu’il aime, car lui-même n’est pas totalement vertueux. C’est pour lui le moment de soulager sa conscience et d’être honnête : — Calme-toi. Tu sais tout le monde peut avoir des moments d’égarement. Je n’ai jamais eu le courage de te l’avouer, mais ça m’est arrivé à moi aussi ...
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