1. April, en quête de sexe 4


    Datte: 14/10/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Un jour de week-end, j'allais à la salle de fitness où j'allais régulièrement. J'étais habillée pour l'occasion d'un mini-short et d'une brassière, tous deux de la même couleur. Je faisais donc du cardio, matant au passage les muscles des mecs que leurs habits laissaient apparaître. Un mec retint mon attention plus que les autres : c'était un homme grand, environ 1 mètre 90, noir de peau et, de ce que je pouvais voir, bien bâti. Il était plutôt beau gosse, et je ne pouvais m'empêcher de le mater. Nos regards se croisaient de temps en temps et je voyais dans ses yeux une lueur de désir. Je savais qu'il me désirait autant que je le désirais. Néanmoins, il ne tenta aucune approche et, à la fin de sa séance, alla se changer dans les vestiaires. Ne voulant pas en rester là, je le suivis dans la cabine et la refermais pour me jeter dans ses bras et l'embrassai avec fougue. Il me rendit mon baiser avec vigueur en me caressant le corps. Il me massa les seins à travers ma brassière ce qui me fit pousser un gémissement. Il interrompit notre baiser pour me regarder avec un sourire : - Eh ben ! T'es plutôt directe, toi. - Quand un mec me plaît oui, lui dis-je en caressant son torse, Pourquoi ? Les filles directes ça te dérange ? - Absolument pas. Sur ces mots, il m'embrassa fougueusement. Je n'eus même pas le temps de lui rendre son baiser qu'il me retourna, me plaquant contre le mur de la cabine et appuya sur ma nuque pour me cambrer. Sans attendre, il enleva mon short et ma culotte ...
    ... pour ensuite enlever son propre short et son caleçon, libérant ainsi sa queue bien pourvue : elle devait faire dans les 23cm de diamètre et une grosse largeur. Sans plus de cérémonies, il se mit une capote et me pénétra d'un coup sec et profond qui m'arracha un cri. Il commença de vigoureux va-et-viens en mettant une main sur ma bouche pour étouffer mes gémissements. Il me prenait sauvagement mais silencieusement, me poussant à chaque coup de reins sur la paroi de la cabine. Je ne pouvais m'empêcher de pousser des petits cris, heureusement atténués par sa main sur ma bouche. Il me tira les cheveux, me forçant à mettre ma tête en arrière ce qui me permit d'apercevoir son visage : il prenait son pied et il me regardait d'un sourire carnassier. J'avais l'impression d'être une gazelle qui est la proie d'un lion et ça m'excitait terriblement. Il alla de plus en plus vite en moi, me limant sans ménagement. Je finis par avoir un orgasme intense et je dus lui mordre la main pour me retenir de crier. En réponse, il me tira violemment les cheveux et accéléra son mouvement jusqu'à ce qu'il jouisse en retenant un râle de satisfaction. Il se retira ensuite de moi et je pus me redresser, essoufflé par le plaisir. Je me retournai et lui souris tout en me rhabillant : - Tu crois qu'on nous a entendus ? Lui demandais-je d'un air inquiet mais en même temps excité qu'on ait pu nous entendre. - Possible, mais personnellement je m'en fous. J'étais excitée par cette baise rapide en public et je ne ...
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