1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 666)


    Datte: 14/10/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... tu ne le sais pas… pas encore… mais tu ne vas pas tarder à le savoir. Tends-moi ton cul de pute, mets-toi en levrette ! L’espace était tellement réduit qu’Endymion MDE eut bien du mal à se tenir dans la plus parfaite position. Mais la préoccupation du Maître n’était point là. Il avait ôté son caleçon et déjà son gland turgescent pointait sur l’anus de Son chien soumis. Il le pénétra d’un trait et l’encula profondément sans douceur, ni fioriture, sans tenir compte de ses plaintes, ni de ses maux causés par une sodomie brutale et sans préambule. Il le sodomisait, point final ! Le cul d’Endymion MDE n’était pourtant pas prêt à se faire bourrer ainsi, car son anus bien dilaté la veille, s’était refermé durant la nuit et de recevoir une telle bite épaisse, drue et ferme en lui, qui le limait profondément, sans qu’aucune préparation préalable ne lui ait été prodiguée. Il ressentit cette pénétration comme un abus sur son corps, sans que pour autant, il puisse en faire le moindre grief au Maître, au contraire même, il lui en était très reconnaissant, l’idée d’être utilisé comme un simple objet l’excitait, et puis se disait-il en lui-même avec bonheur, à chaque vas et viens profonds : « Ce cul, cette bouche sont la pleine propriété du Maître, j’en ai fait don ». Ces intimes réflexions taraudaient le chien soumis, il bandait même, fermement, outrageusement… l’esclave MDE comprit bien vite que les assauts répétés du Maitre, sa sauvage Domination et sodomie, sa volonté bestiale n’avaient ...
    ... qu’un seul but : lui faire découvrir ce qu’il était vraiment, ce pourquoi il était fait, pour qui il le faisait. Le Maître voulait le voir grandir encore dans sa soumission, un total et complet asservissement. Endymion MDE lâchait prise, prenait conscience d’une réalité, il affichait une généreuse image d’un vrai esclave sexuel, sous des coups de butoirs massifs, totalement dépossédé de son être tout entier. Il constatait encore que ce n’était plus une contrainte pour lui, de s’abandonner, de donner la totale maitrise de son esprit, de son corps à celui qu’il reconnaissait comme un Grand et Vénéré Maître. Il se laissait guider et instruire par celui qui l’avait apprivoisé et captivé. Être réduit à la captivité, à l’obéissance, à la perte de ses repères, le conduisait vers l’apaisement, la sérénité d’esprit, la quiétude de son corps, en se conformant à l’autorité, en acceptant sans aucune retenue sa condition. Le collier, les chaines le délivraient et lui permettaient de se détacher de son propre regard, pour se pencher exclusivement sur le bien-être de celui qui lui permettait d’être enfin ce qu’il était profondément, celui qui le révélait à ce qu’il était : un soumis asservi, un soumis-jouet sexuel, un esclave utilisable à la volonté du Maître. Alors pour le remercier de l’avoir éclairer et guider sur le chemin d’une vie meilleure, son devoir était de le servir en toute humilité, de se conformer strictement à ses désirs, plaisirs et volontés. Toujours Sa Noble queue enfouie ...