1. Nature et découvertes


    Datte: 15/10/2020, Catégories: Lesbienne Hardcore, Première fois

    ... !J’ai continué pendant quelques instants et j’ai fini par retirer mon index que j’ai remplacé par mon pouce.- Hon ! Chéri, qu’est-ce que tu fais ?Une fois mon index libéré, j’ai pu l’enfoncer dans son vagin. Celui-ci était tout trempé.- T’aimes ça, ai-je demandé à ma mère ?- C’est maman !Ce fut sa seule réponse avant de me dire, quelques minutes plus tard, qu’elle jouit. Alors, j’ai couché ma mère sur la table de la cuisine et j’ai enfoncé ma bite.- Ah, chéri, a gémi ma mère !Son con était un vrai boulevard où je pouvais aller tranquillement d’avant en arrière.- Ah, chéri, c’est maman !J’ai compris qu’elle avait joui et j’ai joui à mon tour et quand ma mère s’est relevée, elle avait les deux seins à l’air.- Petit cochon, m’a-t-elle dit encore ! Tu devrais avoir honte !- Mais j’ai pas honte, maman ! Je veux juste que tu sois heureuse !A ce moment-là, le réveil s’est mis à sonner. J’ai vérifié l’heure. Six heures et demi. Après seulement, j’ai cherché ma mère dans mon lit mais elle n’y était pas. En allant à la salle de bains, j’ai regardé dans la chambre de mes parents et ma mère dormait aux côtés de mon père et j’ai compris que j’avais fait un rêve. Quelques mois plus tard, en lisant les chiens écrasés dans le journal, j’ai trouvé un article qui parlait d’une femme qui couchait avec son fils. Quelqu’un les avait dénoncés et ils étaient en prison tous les deux. La femme avait donné pour raison qu’elle est seule et le fils n’avait rien dit.En arrivant dans l’atelier, j’ai ...
    ... compris que c’était l’info du jour dont mes collègues parlaient presque tous.- Quand même, baiser sa mère, disait l’un !- Ça dépend, si elle est bien roulée, lui a répondu un autre !D’entendre parler de ce genre de trucs, ça m’a donné la trique une fois de plus. Je suis passé près du vestiaire des femmes et j’en ai entendu une dire que si son fils est mieux gaulé que son mari, il n’y aura pas photo et vu le sourire qu’elle avait en sortant du vestiaire, j’ai pensé qu’elle en serait bien capable.Une fois de plus, j’allais me conduire en goujat. On avait tous nom et prénom ainsi que le numéro de l’atelier brodés sur nos tenues de travail et j’ai tendu le bras comme si je voulais vérifier ce qu’il y avait d’écrit sur la blouse de la femme et pour ça, il fallait bien que je touche son sein.Colette S…, ai-je lu pour ne pas dévoiler son nom !- Eh, pas touche, m’a répondu la jeune femme !Elle m’a aussi mis une baffe et elle m’a fait sauter mes lunettes et elle s’est mise à rire mais ce n’était pas méchant.Sa collègue les a ramassées et elle me les a rendues tout en me disant que si je m’y prenais mieux…J’ai essayé de m’y prendre mieux et trois semaines plus tard, je suis sorti la première fois avec Colette. J’avais une voiture et c’était un avantage. Les ouvrières en ce temps-là n’avaient pas froid aux yeux et certaines couchaient pour une prime ou un avancement.Elle s’est assise à côté de moi et j’ai commencé à rouler mais elle n’a pas tardé à déboutonner mon pantalon puis elle a sorti ...
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