1. expérience sm ... (1)


    Datte: 15/10/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... que tu comptes m’infliger te paraissent-ils dignes de mon intérêt ? » Je lui énonçai alors mon écrit par le biais de notre messagerie, et au délai de réponse, assez long au demeurant, je compris sans mal l’effet que je lui fis ce soir la. Nous en restions là pour ce soir, la nuit ayant déjà terrassé plus d’une de ses camarades. Chapitre 2 Le week-end arriva, et notre virée aux étangs en amoureux avec lui. Nous avions trouvé un endroit charmant, avec un accès à la rivière qui alimente les étangs, à la fois assez grand pour y manger et reculé du reste de la promenade, parfait pour notre programme. C’était un dimanche ensoleillé, d’une chaleur lourde, propre aux milieux de journées, avec peu de vent. Nous étions arrivés vers 11h30 pour réserver la place, mais par cette chaleur, les touristes préféraient les salles de restaurants disposants de la climatisation, ce qui nous laissait le champ libre. Nous avons discuté, en attendant le repas sous notre parasol, de la semaine, des cours, de nos amis, de nos délires avec eux… J’étais assis, les genoux repliés et les jambes ouvertes, et elle s’appuyait contre mon torse, sa tête dans le creux de mon cou. Elle portait une robe de plage blanche, avec l’élastique au niveau de sa poitrine, qui lui arrivait au dessus des genoux, évasée, le genre qui dévoile tout de sa porteuse pour peu que la brise ne s’y prête. Sous cette robe se cachait un bel ensemble soutien-gorge et un slip brésilien en dentelle noire, le tout mettant magnifiquement ...
    ... ses atouts en valeurs pour moi. De mon côté, un débardeur et un bermuda blanc avaient la tâche de me mettre en avant, rendant ma musculature de basketteur saillante. La discussion fut ainsi suivie par le repas puis un repos collés-serrés. Vers 13h30, alors que ma douce dormait sur le dos sous mes caresses, des envies plus coquines me prirent. De ma main droite, je commençais à effleurer son cou. Sans réaction de sa part, je poursuivais ma descente par-dessus sa robe pour atteindre sa poitrine que je sentais se soulever et se rabattre. Ne bougeant pas, je continuais mes caresses plusieurs minutes, me faisant plus pressant avec le temps. J’en désirais davantage. Sa passivité, peut-être comme une invitation, me donnait envie de poursuivre mes caresses. Je commençais à descendre de nouveau, toujours au dessus de sa robe, sur son ventre, puis sur son bas-ventre. Tout en restant sur cette barrière de tissu, mes caresses ne s’arrêtent pas pas longtemps là, et j’atteins bientôt son antre si désiré. Quelques minutes passent et l’excitation grandit, amenant des caresses plus prononcées. Je m’en rends compte, et pour ne pas la gêner dans son sommeil, je préfère cesser pour me concentrer sur ses cheveux, caresses qu’elle me réclame sans cesse. « Ô non, t’arrête pas mon cœur, c’était si bon ! S’il te plaît… « A, excuse moi, je ne voulais pas te réveiller, mais te voire comme ça, abandonnée… Enfin, tu as compris ! « Oui, je comprends ! Mais ne t’arrête pas, j’aime bien, c’est agréable là. « ...
«1234...»