Marlyse (1)
Datte: 16/10/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
... gens, les Combiers, horlogers dans l’âme, d’un premier abord très froid et distant sont des gens absolument délicieux. Mais nous voici parti dans l’aventure avec l’idée de finalement rejoindre Genève à pied. Mes deux enfants, je dis mes enfants, même si maintenant, les deux me dépassent d’une tête, s’entendent comme deux larrons en foire. J’ai toujours un petit pincement quand je vois Louis, il est tellement beau, fin, un peu l’opposé de mon mari qui est cependant très doux, mais dans lui on voit la force brute et si longtemps, je l’ai appréciée, cela ne me trouble plus du tout. Je vois ces deux garçons devant moi, et je vois leurs fesses, serrées dans une culotte, se balançant à chaque pas. Une fine et une large. C’est un drôle de tableau. Voilà, fin de la rêverie, on est arrivé aux Grands Plats de bise, on va passer au chalet d’alpage pour demander la permission de passer la nuit et acheter du lait, du fromage, du beurre de montagne, on a pris assez de pain, on ne va pas mourir de faim. Tout est OK et le vacher (cow-boy en anglais, mais sans chevaux) nous assigne un coin très sympa pour nous installer. Récit de Louis. Incroyable, je crois que j’ai le béguin avec la mère de mon copain, cela va un peu se compliquer, quand on est les deux, on fait nos petites affaires, sans problème, mais là, on va être trois dans la même tente avec sa mère qui me regarde avec des yeux de chien qui quémande la caresse. D’autre part, je l’aime bien, toujours sympa avec moi, une vrai mère ...
... poule. Elle aime bien me presser contre son corps de sportive et moi aussi j’aime bien me presser contre son corps, même si je vois son mari froncer les sourcils. J’espère qu’avec Jacques, on aura quelques instants d’intimité, on aime bien se caresser, se branler mutuellement, voire de se sucer, là, avec la mère, cela va pas être facile, mais avec cette marche, je sens mes pruneaux qui débordent. On a fini de monter la tente qui est vraiment beaucoup plus grande que j’aurai pensé, on sera bien là-dedans. Je vais chercher du bois pour faire un petit feu, comme on le fait aux scouts, en fait c’est là qu’avec Jacques, on a commencé à se tripoter la nouille . Le feu a bien pris, j’ai bien fait attention de prendre du bois bien sec et les flammes montent harmonieusement en direction du ciel. Marlyse a placé la marmite avec la soupe sur le foyer que l’on a construit avec des pierres des environs. Quand on a fait une longue marche, c’est fou ce que la soupe est bonne. J’en ai jamais mangée de si savoureuse. La soirée est terminée et nous nous couchons dans la tente, mais en altitude, il fait frais, on a intérêt au moins au début de bien s’habiller pour la nuit. Nous laissons Marlyse se préparer pour la nuit et nous à notre tour, dans une tente sombre nous nous changeons. Récit de Marlyse. Me voilà embarquée avec ces deux garçons pour notre première nuit ensemble, je me mets dans un coin pour leur laisser la place. Une fois qu’ils sont couchés dans leurs sacs, je me penche sur chacun et ...