À mi-parcours - Histoires de Sexe

À mi-parcours

... : — Alors ? Je n’ai pas besoin de préciser et elle répond : — Le lendemain de votre passage.— Et…— Il faut demander à ce monsieur, dit-elle en tournant la tête vers son mari. Tu ne dis rien, Monsieur est trop timide. Alors moi je vais le dire. Eh bien depuis, c’est un feu d’artifice permanent. Il me sollicite très souvent, même pendant le travail. Ne fais pas cette tête, je reconnais que j’aime bien.— On peut voir le résultat ? dis-je en dirigeant mon regard vers le bas de son ventre.— C’est-à-dire que je suis gênée. Oh ! après tout, vous n’avez pas refusé de me montrer la dernière fois ! Allons dans la réserve. Chéri, tu fermes le magasin. Quelques pas nous conduisent tous les quatre dans cette remise que j’ai visitée lors de notre passage. Les murs sont couverts par des étagères pleines de boites à chaussures, mais il reste de la place pour une table et deux chaises. L’homme et la femme sont côte à côte, face à nous qui avons pris place sur les deux chaises. Alors la femme soulève sa jupe et fait glisser son slip. Je ne peux m’empêcher de dire : — Vous devriez supprimer la culotte, c’est incroyablement bon de se balader sans rien.— Oh ! vous n’êtes pas la seule à le demander, ce voyou l’a déjà fait. Mais avec mon métier, j’ai tout de suite arrêté. Les clients venaient juste pour se rincer l’œil et ce n’est pas bon pour le commerce. Pendant ce temps elle s’exhibe devant nous, sans pudeur, parfaitement à l’aise. Son attitude me donne une idée. Je me lève, m’approche d’elle ...

... et demande en avançant la main vers son pubis : — Je peux ? Comme personne ne réagit, je pose ma main délicatement sur son sexe que j’effleure, comme pour tester la qualité de l’épilation et comme je n’ai toujours pas de réaction, je continue mon exploration en disant : — Et derrière, c’est fait aussi ? Je la fais pivoter et spontanément elle se penche pour répondre à ma question. Là aussi j’effleure la peau libérée des poils. — Très beau travail, vous n’avez pas trop souffert ? Elle se retourne, mais maintient sa jupe levée et répond : — Oh ! ce n’est pas une partie de plaisir, mais le résultat est là ! Je suis toujours à côté d’elle et sans prévenir, pose ma main sur le pantalon du mari qui montre une belle bosse. — C’est vrai, le résultat est bien là. Tout le monde rit de ma blague. Mais je veux pousser un peu plus loin. En retournant m’asseoir, je m’adresse à Léa : — Dis, Léa, si on leur demandait de nous faire une petite démonstration ? Léa, qui a compris mon but, réplique, en même temps qu’elle dirige sa main sous sa robe pour simuler une caresse : — Oh, je suis dans tous mes états ! Ce serait charitable de ne pas me laisser comme cela. Un couple qui fait l’amour, c’est comme une lueur dans ma libido. L’invite est sans équivoque, d’autant que ma complice relève sa robe et fait voir son sexe à tous. Le couple s’interroge du regard, hésite. Alors je défais les bretelles de ma minirobe, la laisse tomber sur le sol et lance à la volée : — Voilà, comme cela nous serons plus à ...