1. À mi-parcours


    Datte: 17/10/2020, Catégories: ff, ffh, 2couples, couple, couplus, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, fgode, double, fdanus, fsodo, jouet, yeuxbandés, init, entrecoup, extraconj, cocucont,

    ... recommence, vous m’avez déjà fait le coup il y a trois semaines ! Viona, tu me racontes, avec détail, votre aventure avec un couple de commerçants. Tu te transformes en égérie du libertinage. Chaque soir Léa me fait part, toujours avec force détails, des progrès de ton initiation. Voilà, regardez dans quel état je suis. En effet son sexe semble s’être gonflé d’excitation. Nous le regardons en souriant et Léa fait une proposition — Et si nous allions au sous-sol ? Viona, tu pourrais lui montrer tes progrès pendant que je m’occuperais de ce pauvre malheureux. Sans un mot je me lève, ils me suivent et nous nous retrouvons dans la pièce des délices. Toujours sans rien dire j’ouvre une armoire et choisis deux godes pour la machine. — Eh bien, dit Léa, tu n’as peur de rien ! Il va falloir drôlement bien te mettre en condition si tu veux vraiment utiliser ces deux-là.— Oui, et tu ne serais pas fâchée si je demande à John de le faire ?— Petite cochonne, tu veux l’allumer un max. D’accord, après tout c’est moi qui vais en profiter. John s’occupe de tout. Il fixe les deux godes sur la machine et, prudent, les enduit avec un lubrifiant. Puis il se tourne vers moi, me caressant des mains et de la langue, vérifiant que ses doigts pénètrent aisément dans mon sexe et mon anus. Il ne faut pas longtemps pour qu’il me juge assez préparée. Il faut dire que c’est la première fois qu’un homme, autre que mon mari, me caresse pour l’amour. Il me fait prendre position et présente le premier gode ...
    ... vers mon œillet. L’introduction est difficile et je dois me décontracter longuement avant qu’il réussisse. J’ai peut-être été trop ambitieuse, mais je ne peux plus reculer car le second fait déjà son chemin dans mon vagin. Voilà, je sens ces deux monstres qui me remplissent et j’imagine mon œillet déformé par ce gros bâton. Je ne ressens pas vraiment de douleur mais plutôt une sensation de gêne. J’entends John me dire à l’oreille : — Je ne branche pas la machine, il vaut mieux que tu choisisses toi même le rythme et la profondeur. Je ne réponds pas car je suis comme sonnée. Tout doucement je m’habitue et très lentement, avec précautions, je m’avance et je recule sans toutefois aller jusqu’à ressortir les godes de leurs fourreaux. Pendant ce temps, John et Léa se sont placés face à moi et tout en me regardant, ils se caressent et s’excitent. C’est bon de voir Léa prendre en bouche la verge de son mari, c’est bon de le voir sucer son clito, quel spectacle de voir à quelques centimètres de mon visage la queue luisante de mouille entrer dans le vagin puis forcer le passage du cul ! Tout cela m’excite et sans me rendre compte je me baise de plus en plus intensément. Mes orifices ont pris la mesure de leurs conquérants et ils se sont adaptés. Je ne ressens plus que du plaisir, pas de gêne, pas de douleur. J’entends Léa dire : — Tu vois, Viona, comme il me prend bien ? C’est bon la queue d’un homme ! Tu ne veux pas essayer ? Tu sais, un gode, même deux, ne remplaceront jamais une bonne ...
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