1. Aventures coquines et sexuelles d'un trentenaire (1)


    Datte: 17/10/2020, Catégories: Gay

    ... plaisir non dissimulé. Ayant enfin réalisé mon fantasme, me sentant heureux et apaisé, je lâchais alors un profond soupire. Mais mon amant me lança alors : « Attend, ce n’est pas fini… » Il glissa alors le long de mon torse et écarta de nouveau mes jambes. Il saisit alors mon sexe à pleine main et entama une douce masturbation. Complétement amorphe je me laissais aller à cette douce caresse mais il ne me fallut pas longtemps pour sentir mon monter l’éjaculation qu’il sentit venir. Il plongea alors sa tête vers monentrejambe et goba mon sexe dans son entièreté ce qui me fit immédiatement jouir. Il n’en perdit pas une goutte et je ne pus retenir un bruyant râle pour exprimer ma jouissance. Il se releva alors en me disant : « Tu peux prendre un douche si tu veux mais tu as 15 minutes pour dégager de chez moi. Je te ferais signe si j’ai envie de recommencer mais vu comment ça s’est passé aujourd’hui, je pense que ton petit cul va vite me manquer. » Sur ce il se retourna et sortie de la chambre. De mon côté, je me levais comme je pus encore un peu vaseux de ce sublime orgasme et me dirigea vers la salle de bain dans ...
    ... laquelle je retrouvais mes vêtements. Je pris une douche rapide, me rhabilla et à peine 15 minutes plus tard, j’étais de nouveau sur le palier, je ne l’ai même pas croisé, il s’était comme évaporé. Je me retournais pour regarder la porte de l’appartement derrière moi pour me persuader que je n’avais pas rêvé et que ce qu’il venait de se passer était bien réel. Je finis par descendre les escaliers et me diriger vers le parking pour reprendre ma voiture quand j’entendis un bruit au-dessus de moi. Je levais les yeux et je le vis il s’était rhabillé et il buvait un café. Il me regarda, leva sa tasse et me sourit en faisant un clin d’œil. Je lui rendis alors son clin d’œil et continua à marcher jusqu’à ma voiture. J’étais bien, détendu et heureux….. Je le fus encore plus quand quelques jours plus tard, un matin, en prenant en partant travailler, je trouvais sur mon pare-brise un petit papier disant : « Dispo ? » « Oh que oui je suis dispo » dis-je pour moi-même en me retournant vers l’immeuble et il était là, à sa fenêtre. Quand il me vit, il me fit signe et je pus lire sur ses lèvres : « Demain ! Même heure ! » ………………………………… 
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