Sévices militaires 04
Datte: 17/10/2020,
Catégories:
Hardcore,
Mature,
Inceste / Tabou
En attendant que je puisse continuer à traduire la suite des récits postés ici, je vous propose une histoire tirée de mes archives dont l’auteur est un certain GERONIMO. Merci à cet auteur.Avertissement : Ce récit raconte la déchéance et la soumission sexuelle sous contraintes de plusieurs femmes. Cette histoire peut choquer alors si vous n’aimez pas ce genre de récits, ne lisez pas. Je rappelle que cette histoire est fictive et les personnages imaginaires.Je me regarde une dernière fois dans la glace de ma chambre cherchant un défaut dans ma tenue. Je suis habillée d'un tailleur parme avec des bas clairs et des hauts talons : Très «bon chic-bon genre».Il faut dire qu'il y a une cérémonie importante aujourd'hui au Monument aux Morts de la commune. Un hommage va être rendu à des soldats de notre régiment morts pour la France dans les différents conflits où la France fut impliquée.Je vais y retrouver la femme du capitaine, Elisabeth, que David m'a demandé, ordonné serait plus juste, de piéger afin qu'elle devienne la nouvelle proie de son harem qu'il a réussi à se constituer en nous réduisant moi et d'autres femmes d'officier au rang de «vide-couilles». C'est son expression, bien entendu, pas la mienne.Je sors de mon appartement après avoir donné les dernières instructions à la baby-sitter que j'ai engagé pour garder mes enfants. C'est la fille d'un officier, étudiante, plutôt jolie, un peu rebelle comme tous les jeunes.Je tombe sur Béatrice, l'épouse du commandant et son ...
... mari dans la cour de la caserne. Elle est très élégante dans un tailleur beige avec des bas d'un luxe évident. Elle baisse les yeux en me croisant, gênée. Son mari me propose de profiter de sa voiture pour nous rendre à la cérémonie. Nous nous dirigeons vers sa voiture et mon cœur s'emballe quand j'aperçois David qui tient la portière ouverte.Nous montons dedans, nos jupes courtes laissant apercevoir les trois-quarts de nos cuisses. J'aperçois même le haut de la jarretière du bas de Béatrice. David aussi sans doute qui me lance un coup d'œil égrillard. Le commandant monte à l'avant, David ayant prétexté que ces dames seraient plus à l'aise.La voiture sort lentement de la caserne et s'engage sur la route. David n'arrête pas de lancer des coups d'œil dans le rétroviseur, matant nos jambes. Le mari de Béatrice ne se rend compte de rien, occupé à lire le Monde. Innocemment, David lance :- Madame le Commandant n'a pas trop chaud ?Son mari ne relève même pas, mais Béatrice rougit jusqu'à la racine des cheveux. Je me demande pourquoi quand je comprends. Lentement, Béatrice vient, le plus discrètement possible, d'ouvrir ses jambes afin de montrer sa chatte à David, qui n'en perd pas une miette. La jupe de son tailleur est tendue tellement elle écarte ses cuisses. Et son mari qui ne voit rien, toujours plongé dans la lecture de son journal. Puis, elle croise ses jambes dans un crissement de nylons. Sa jupe remonte dévoilant largement le haut de ses cuisses, on voit nettement le haut des ...