1. Dressée par le fermier (1)


    Datte: 18/10/2020, Catégories: Transexuels

    ... quitter les abords de la camionnette déjà garée, après un claquement fort de porte. La personne à l’air grande et costaud. Plus il s’approche, plus il parait imposant. Je dirais 1m90, pour 120kg quand même. Il est mal habillé, avec une salopette. Plus proche, je le vois avec une barbe de trois semaines au moins, les habits sales et tâchées, les cheveux gras, des bottes crasseuses aux pieds, ... Il a un ventre assez proéminent. On dirait qu’il cache quelque chose dans son dos. Il me dégoute et me fait peur, j’ai envi de partir. Mais, il se trouve entre ma voiture et moi. Je suis également fasciné par sa prestance, il à l’air d’être sur de lui. Il m’appelle : — Lui : La salope, tu te caches ou? Sort donc de ta cachette. TOUT DE SUITE. — Moi : je ne répond pas et m’agrippe derrière une fine branche. J’ai trop peur. — Lui : Ah enfin te voilà toi! Tu crois que je ne vais pas te trouver! Alors comme ça on cherche un homme un vrai. Je vais te montrer qui je suis. ALLEZ DEBOUT. — Moi : il m’aggripe fortement par le poignet. J’avais constaté une odeur à son arrivée. J’en conclu par un parfum mêlé de bouze de cheval, urine, ... Je vois maintenant ce que qu’il tient en main : un fouet, un collier avec une laisse, des menottes et une grosse chaine. — Lui : il me fixe le collier. Te voilà ma chienne pour cette nuit. Allez suit moi. Il m’a ensuite fixée à un tronc d’arbre avec la longue chaine, au gros crochet du collier. A une hauteur suffisante pour que je sois obligée de m’étirer sur la ...
    ... pointe des pieds. Ensuite les menottes ont suivi, mains dans le dos, et à fixé la chaine à un autre crochet, celui des menottes. La chaine était un peu courte, de ce fait j’avais malgré moi le cul à la fois en l’air mais surtout penché vers lui en arrière. J’étais à sa merci et ne pouvant plus m’échapper. Il rigolait en me regardant à sa merci, fier de lui. Moi, je n’avais jamais eu aussi peur de ma vie. Lui : je m’appelle ROBERT, et je vais te punir pour la chienne que tu est. Et peut-être qu’après je te gâterai avec ma grosse queue. D’un coup sans prévenir il m’assaille de plusieurs coups de fouet. Je crie, puis le supplie d’arrêter. Robert : arrête de pleurnicher et ferme ta gueule la salope. Tu l’ouvriras que pour sucer ma bite. Tu as compris? Moi : un petit oui sort de ma bouche. Robert : je n’ai pas entendu. OUI QUI? Moi : OUI. Là il me remet dix coup très fort. Robert : On dit "OUI MONSIEUR " Moi : je sors un petit Oui, monsieur. Qui ne lui suffit pas. Il recommence jusqu’à ce que je comprenne et articule suffisamment pour lui. Je commence à comprendre son jeu et joue de cette mise en scène. Ca m’excite, et j’en bande fort. Il m’assène ensuite d’une trentaine de coups. Et je commence à en pleurer. J’en rajoute même histoire de voir s’il est content de lui. A sa réaction, il à l’air satisfait de lui et se remet à rigoler de moi de plus belle. Robert : Comment t’appelles tu? Moi : LEA. Robert : Tu n’as pas finit TA PHRASE SALOPE. Moi : LEA, MONSIEUR. Il me détache et me ...
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