Mutation
Datte: 28/06/2017,
Catégories:
fh,
fagée,
Oral
pénétratio,
yeuxbandés,
couple+h,
attirautr,
... mains commencent à trouver ma peau, et je sens son désir monter. Des bisous, des coups de langue sur ses tétons qui la font vibrer, et sa petite culotte tombe. Son sexe est rasé – ce que j’apprécie – et je suis surpris de trouver une petite chatte bien mouillée. Elle m’enlève mon pantalon et ma chemise ; je me retrouve en caleçon, mais il ne reste pas longtemps sur moi : elle cherche mon sexe. Je sens qu’elle veut découvrir un autre homme que le sien. Ses caresses sont douces. Nous nous caressons un moment comme cela. J’adore l’entendre gémir ; plus rien ne l’arrêterait, finie la pudeur ! Le contact de ma langue sur son clitoris suffit pour la faire exploser une première fois en quelques secondes, puis elle me dit qu’elle a très envie que je la prenne. La veille, nous avions décidé que, compte tenu de nos parcours, il était inutile d’utiliser de préservatif. Je pénètre ce con en feu ; elle est trempée, je bande comme un âne. Je vais et je viens tout en douceur, mais elle me demande de la baiser fort, qu’elle en a envie. Ce n’est plus la grand-mère pudique que je vois ; elle crie des « Ouiiiii, c’est booon, défonce-moi, baise-moi, oui, je vais jouir… », puis un grand « Aaaaaaah ! » sort de sa bouche. Je crains qu’elle ne se trouve mal, et je pense à son mari qui doit sûrement écouter dehors. Elle s’apaise. Je n’ai même pas eu le temps de jouir, mais elle en redemande. Elle me ...
... prend dans sa bouche ; elle sait y faire… Je ne veux pas jouir comme cela, mais l’excitation l’emporte et je jouis dans sa bouche à grands jets ; elle n’en laisse pas une goutte. Je suis tellement excité que je ne débande pas ; elle ne lâche pas mon sexe : elle n’en a pas assez ! Elle se tourne pour que je la prenne en levrette ; un vrai plaisir, que c’est bon ! Je pense à Guy qui doit se caresser derrière la porte en entendant sa femme crier son bonheur… Encore une fois elle pousse de grands cris : « Oooohh, ouiiiiiiii, je vieeenss, trop booon ! » et je me vide encore une fois dans un concert de cris que nous échangeons. Nous restons un quart d’heure comme cela avant de reprendre nos esprits. — J’ai un peu honte Thierry ; qu’allez-vous penser de moi ?— Ne vous inquiétez pas : je ne suis pas coincé, et j’aime les femmes comme vous. C’est super de profiter encore de la vie comme vous le faites ; vos amies peuvent vous envier !— Vous savez, entre personnes de nos âges, on n’en parle pas, et je n’ai surtout pas envie qu’elles sachent. Elle se rhabille, me fait un bisou et sort de la chambre ; j’en fais de même. Quand je sors à mon tour, elle est déjà dans la chambre du couple, et je ne peux m’empêcher d’écouter. Mon Guy a dû lui sauter dessus car j’entends à nouveau des cris ; je suis content d’avoir fait des heureux, et sûrement d’avoir donné un petit coup de fouet à leur sexualité.