Direction chez lui - Histoires de Sexe

Direction chez lui

... essayant de me protéger des attouchements malsains du chien, incapable de le repousser, comme si déjà j’avais besoin de la protection d’un homme comme lui. À 18 ans, je lui témoigne un état d’esprit de gamin, comme si je n’avais absolument pas grandi psychologiquement.— On rente chez vous, Monsieur ?Je le supplie presque, en m’écartant de Néron toujours entrain de me flairer le cul, comme s’il voulait renifler mon odeur pour me connaître, comme mon protecteur me l’a expliqué. Plus Néron lui renifle le cul, plus le gamin se serre contre moi. Il doit sentir ma queue contre son ventre. Je ne bande pas totalement, mais ma bite est quand même pas mal gonflée. — Oui, entrons. Je le fais passer devant moi et ma main vient se glisser sur ses fesses, par-dessus le mini-short. Je sens tout de suite qu’il ne porte absolument rien dessous. Je ne me rends pas vraiment compte de l’érection de l’homme, trop occupé à essayer de repousser ce Néron vraiment trop insistant avec moi. J’ai pourtant l’impression que le type s’est mis à ralentir son pas exprès, juste pour que son chien en profite un peu plus. Cela me met mal à l’aise. Néron finit de se désintéresser enfin de moi lorsque mon vieil hôte m’empoigne les fesses à travers mon micro-short sous lequel, il y a bien longtemps, j’ai perdu l’habitude de porter quelque chose. Ma main couvre bien ses fesses, et je pousse mon petit invité à l’intérieur de la maison. Néron reste dehors. Je trouve mon jeune protégé bien jeune et naïf. Il doit ...

... bien se rendre compte qu’on ne va pas chez un inconnu comme cela, sans risque. Surtout quand on se laisse passer la main aux fesses, comme ça. — Tu veux manger, visiter, ou profiter de la piscine ?— Je préfère la piscine. Je n’ai pas trop faim. Et votre maison, vous pouvez me la montrer après, non ?Je lui tends mon visage dont les traits terriblement androgynes font fondre bien des hommes. Mes beaux yeux bleus sont dissimulés derrière la longue mèche de cheveux blond platine. Encore une curiosité chez moi, ces cheveux à la fois exagérément décolorés et coiffés très mode avec cette coupe carré asymétrique laissant ma nuque très rasée.— Mais je n’ai pas de maillot. — Très bien. Va pour la piscine. C’est aussi mon idée. J’étouffe sous cette chaleur. — Ne t’embête pas pour le maillot : ici, on n’en a pas besoin. Je ne lui laisse pas trop le choix et le saisis par la main pour le conduire au bord de la piscine. Je me déshabille en un tour de main. Entièrement. Je libère un sexe imposant à demi bandé. — Allez, à poil ! Et sans attendre, je me jette à l’eau. Je ne suis pas trop surpris de le voir se dénuder aussi facilement devant moi. Par contre, son corps d’homme mûr un peu gras me rappelle tout à coup, violemment, la grande différence d’âge qui nous sépare. Mais résolu à aller jusqu’au bout dans cette relation des plus scabreuses, je défais mes vêtements les uns après les autres et termine entièrement nu pour venir le rejoindre dans l’eau en descendant par l’escalier afin de ne pas ...